Comment vendre à la génération Z ?

Les Digital natives, génération née à partir de 1996, représenteraient en France un marché de quelque 60 milliards d’euros. Exigeants et engagés, ils sont équipés à 98% de smartphones. Tour d’horizon des bonnes pratiques pour séduire ces nouveaux consommateurs.

A peine a-t-on commencé à cerner les Y qu’il faut déjà se pencher sur les Z… Certes les moins de 25 ans ont un pouvoir d’achat moins important que leurs aînés mais ils représenteraient pour les marques une manne de 3.000 milliards d’euros dans le monde, dont 60 milliards en France, selon une étude d’OC & C Strategy Consultants publiée en 2019. Comprendre la GenZ… La tâche n’est pas si simple. Car, malgré des similitudes, les Digital natives ne partagent pas les mêmes valeurs et pratiques que la génération précédente, les Millenials .

1. Convaincre en huit secondes

Ultraconnectés et zappeurs invétérés, les Z n’auraient que 8 secondes d’intérêt pour un contenu, selon une étude publiée en 2020 par Vivendi Brand Marketing. Soit quatre secondes de moins que les Y. Une marque dispose donc de ce minuscule créneau pour faire passer son message ! Un Z possèdant en moyenne 4,4 comptes, selon OC & C Strategy Consultants, il faut, en toute logique, être présent sur les leurs réseaux sociaux favoris : Snapchat , Instagram , Tiktok ou encore Yubo, outsider tricolore en pleine croissance . Et, bien sur, utiliser sur les formats courts, comme les stories ou les clips vidéos, pour tenir les 8 secondes.

2. Etre relayé par des influenceurs

Plus encore que les aînés, les Digital natives se méfient de la parole institutionnelle. D’après eMarketer, 52 % d’entre eux accordent plus de confiance aux influenceurs du monde entier qu’aux célébrités et aux sportifs. Placer son produit dans le post dans d’un de leurs pairs aux dizaines de milliers de followers est la meilleure manière de convaincre cette cible !

3. Porter haut et fort des valeurs

Tous les Z ne sont pas des Greta Thunberg mais cette génération est indéniablement plus activiste que la précédente. Respect de la diversité, des genres, de l’environnement, les entreprises doivent adopter des comportements éthiques. Et le faire savoir. Gucci n’a pas manqué d’envoyer un signal fort aux Z avec la création d’un poste de « direction monde de la diversité, de l’équité et de l’inclusivité ».

4. Etre sincère

D’après Vivendi Brand Marketing, les Digital natives sont une tribu « sans filtre » qui parle des « vrais problèmes de la vraie vie », contrairement à celle des Y, génération selfie par excellence. Consommateurs avertis, ils consultent trois sources avant un achat et se montrent plus économes que leurs aînés. Simuler la rareté d’un produit pour augmenter la désidérabilité peut provoquer un sérieux retour de bâton. Idem pour les prix. A coup de vidéos sur youTube, les Z se font un plaisir de tirer à boulets rouges sur les marques qui pratiquent des tarifs exorbitants.

5. Offrir du sur-mesure

Les Z adorent suivre les modes… tout en affichant leur singularité. Ils raffolent des collections capsules et des produits personnalisables ou sur-mesure.

6. Etre multicanal

Pour la Gen Z, le shopping en ligne et le retail ne sont pas antinomiques. D’après une étude du chatbot conversationnel Jam et de l’agence de marketing digital Intuiti, les magasins restent ainsi le lieu de prédilection de 47 % d’entre eux pour le shopping plaisir et le repérage. Ensuite, les transactions se font très majoritairement en ligne. Les Z ne boudent pas les sites des marques mais ils achètent prioritairement sur les plateformes multimarques. Amazon étant la marketplace préférée des jeunes hommes et Asos , celle des jeunes femmes.

7. Engranger les bons avis de consommateurs

L’étude de Jam et Intuiti souligne également l’importance des commentaires des internautes : 68 % des Z consultent souvent ou toujours les avis en ligne avant d’acheter un produit. Inciter les consommateurs à évaluer leurs expérience est donc clé. Et ne surtout pas laisser passer un commentaire négatif sans y répondre…

Source : Business.lesechos

Définition : SEM = SEO + SEA + SMO

Kesako SEO, SEA, SMO, SEM ? Vous devez voir passer ces différents sigles régulièrement sur internet aujourd’hui. Si vous êtes néophyte, leurs sens vous sont probablement inconnus. Si vous êtes un habitué du web, vous en savez certainement un peu plus, mais il subsiste peut-être encore quelques hésitations. Il faut dire que beaucoup de personnes les mélangent toujours et diffusent des informations pas toujours très justes. Nous sommes aujourd’hui ici pour mettre un terme à cela et comprendre une bonne fois pour toutes les relations qu’entretiennent ces différents termes.

Qu’est-ce que le SEO ?

Le SEO (pour Search Engine Optimization – Optimization pour les Moteurs de Recherche) n’est rien d’autre que le référencement sur internet dit « naturel ». C’est à dire toutes les techniques qui visent à améliorer le positionnement d’un site internet dans un moteur de recherche tel que Google par exemple. Le SEO porte son action sur trois piliers : la technique, le contenu et la popularité. Il est nécessaire d’agir sur ces 3 piliers afin d’améliorer la visibilité d’un site sur internet. La technique concerne tout ce qui est en rapport avec les performances d’un site (serveur, technologies utilisées, langages de programmation utilisés, etc). Le contenu concerne lui le cœur du site : ses textes, ses images et ses vidéos.

C’est la matière du site et ce qui est directement proposé aux internautes. Un bon contenu est exhaustif, unique et original. Enfin la popularité concerne les mentions que font des sites tiers vers un autre site internet. Pour illustrer, un bon contenu sera probablement repris sur d’autres sites internet et partagé. Cela est un indicateur fort de popularité et donc de qualité pour un moteur de recherche. Un site obtenant beaucoup de liens entrants pertinents sera perçu comme un site de qualité.

Qu’est-ce que le SEA ?

Le SEA (pour Search Engine Advertising – Publicité sur les Moteurs de Recherche) définit ce que l’on appelle couramment le référencement « payant ». Il concerne en réalité la publicité diffusée sur un moteur de recherche. Google en est le meilleur exemple avec sa célèbre régie publicitaire Google Ads. Vous remarquerez en effet que pour certaines requêtes, des résultats dit sponsorisés (« annonces ») apparaissent sur le moteur de recherche. Ce sont des emplacements publicitaires achetés. Dans le cas de Google Ads, on achète par exemple aux enchères des mots clés. Si notre enchère est suffisamment haute, notre annonce apparaîtra lorsqu’un internaute recherchera spécifiquement les mots clés en question.

Qu’est-ce que le SMO ?

Le SMO (pour Social Media Optimization – Optimisation des Médias Sociaux) comprend toutes les activités visant à développer la visibilité d’une entreprise au travers des médias sociaux. Le poids de ces derniers n’est pas toujours évident à appréhender lorsque l’on se concentre sur les moteurs de recherche. En effet, si Youtube et Google+ (les deux bébés de Google) ont un poids certain, celui d’autres médias sociaux tels que Facebook, Twitter, LinkedIn, Viadeo et Dailymotion est plus relatif. Youtube et Google+ sont aujourd’hui indispensables dans une stratégie de « search ». Il est en effet fréquent de voir remonter des vidéos Youtube dans les résultats de recherche (et les vidéos Youtube remontent bien plus majoritairement que les vidéos Dailymotion ou Vimeo par exemple) et il ne faut pas oublier que Youtube est lui même le deuxième moteur de recherche au monde en terme de volume de recherches. Il en va de même pour Google+ qui, en plus de personnaliser les SERPs en fonction du profil utilisateur connecté, offre de nombreuses options liées à la visibilité sur les pages de résultats : Rich Snippet entreprise, vignette d’Authorship, fiche Google+ Local, etc.

Le poids des autres médias sociaux est plus relatif (toujours dans l’optique de la stratégie de search que nous traitons dans cet article). Les profils remontent bien de temps à autre, mais c’est essentiellement par leur pouvoir de communication, de viralité, de fédération et de fidélisation qu’ils se distinguent très largement.

Qu’est-ce que le SEM au final ?

Le SEM (pour Search Engine Marketing – Marketing sur les Moteurs de Recherche) est un terme global prenant en compte toutes les techniques visant à améliorer la visibilité d’une entité (site, entreprise, personne..) sur les moteurs de recherche. Par conséquent, le SEM est un regroupement de techniques marketing et non une technique marketing en soi.

Si vous observez les 3 premiers points de cet article, vous remarquerez une complémentarité évidente entre les 3 techniques (SEO, SEA et SMO). Ainsi, toutes les techniques que nous avons observés précédemment composent tout simplement ce que l’on appel le SEM.

Traditionnellement, et comme le titre de cet article le précise d’entrée de jeu, on résume cet écosystème marketing par une courte formule : SEO + SEA + SMO = SEM.

Source : seo.fr

2021-10-10T11:31:30+02:0010 octobre 2021|Catégories : Digital, ETI, GE, Marketing, PME, TPE|Mots-clés : , , , , , |0 commentaire

Le SEA, du court terme mieux ciblé

On les oppose souvent, mais associer référencement naturel (SEO) et référencement payant (SEA) est pourtant une stratégie efficace pour toutes les entreprises souhaitant augmenter leur visibilité sur les moteurs de recherche.

Pour être performant, tout site web, qu’il soit e-commerce ou non, doit être visible sur les moteurs de recherche, Google en tête. Autrement dit “référencé”. Pour ce faire, il existe deux méthodes, à la fois opposées et complémentaires : le référencement payant, aussi appelé SEA, et le référencement naturel ou SEO.

Qu’est-ce c’est ? Comment ça marche ? Quel est l’intérêt d’associer ces deux stratégies ? Forte de ses 13 ans d’expérience auprès de PME et de grands groupes en France et à l’international, l’agence de référencement ORIXA MEDIA nous explique tout.

Le SEO, de la qualité sur le long terme

Le SEO, pour Search Engine Optimization, ou référencement naturel, consiste à améliorer le classement d’un site web dans les résultats naturels – comprendre sans publicité – des moteurs de recherche, ou SERP pour Search Engine Results Page.

C’est indispensable, car les trois premiers résultats de recherche organique sur Google récoltent en moyenne à eux seuls 75 % des clics effectués par les internautes.

Le référencement naturel passe par plusieurs étapes, à commencer par établir un état des lieux de la situation pour déterminer la meilleure stratégie à mettre en place. Il y a trois axes à prendre en compte : l’optimisation technique (architecture, vitesse de chargement et navigabilité, notamment), la stratégie de contenu (via la création de contenu et l’utilisation de mots-clés) et le “netlinking”, qui consiste à travailler la présence de liens entrants vers le site web depuis des sources de qualité.

Si cela exige du temps et de l’expertise, le SEO est une stratégie de contenus et d’expérience utilisateur très efficace et rentable pour s’assurer de la visibilité sur le long terme.

Le SEA, du court terme mieux ciblé

A l’inverse, le SEA, pour Search Engine Advertising, ou référencement payant, est une stratégie à court terme qui permet de gagner en visibilité rapidement. Il s’agit de louer des espaces publicitaires par l’intermédiaire des régies des moteurs de recherche (Google Ads, Bing Ads…) sur les pages de résultats, en payant pour être référencé dans les premières positions sur une recherche donnée.

En plus de résultats très rapides, le SEA permet de mieux cibler le public désiré. En revanche, cela reste du temporaire : dès que la publicité est retirée, la visibilité se perd.

Deux stratégies opposées mais complémentaires

Alors que faut-il choisir ? SEO ou SEA ? Le mieux reste de combiner les deux. En effet, en optimisant le contenu du site web et son ergonomie avec la stratégie SEO on augmente le Quality Score des campagnes dans Google Ads et on obtient donc une meilleure visibilité.

L’AB testing des campagnes SEA permet par ailleurs d’identifier les sujets qui génèrent le plus de conversions et ainsi d’identifier les mots-clés les plus pertinents et performants afin d’alimenter la stratégie SEO.

Les deux stratégies combinées entraînent également une multiplication des positionnements de la campagne et diminue la couverture des concurrents sur les moteurs de recherche.

Autant de synergies qui permettent d’obtenir des résultats à court et long termes, en profitant des avantages des deux stratégies et en neutralisant les inconvénients, avec pour objectif final d’augmenter le trafic organique et de réduire les dépenses publicitaires.

Source : LePoint

2021-10-10T11:17:44+02:0010 octobre 2021|Catégories : Digital, ETI, GE, Marketing, PME, TPE|Mots-clés : , , , , |0 commentaire

Comment réussir sa stratégie de marketing digital en 2021 sans risque de se tromper ?

Depuis près d’une décennie déjà, on assiste au développement exponentiel du commerce en ligne. Que l’on soit un géant du secteur ou un tout petit artisan, il est crucial de bien définir sa stratégie de marketing pour espérer s’imposer sur internet. Dans la suite, découvrez nos conseils pour y parvenir.

L’importance de savoir qui sont vos cibles

Si l’entreprise sait quelles sont ses cibles (ex. tous les hommes âgés de 35 à 40 ans), elle doit également savoir qui elles sont (ex. Marc, 43 ans, agent commercial, etc.). L’objectif ? Concevoir des messages percutants afin d’inciter le buyer personas (client idéal) à faire confiance à la marque, puis à acheter les produits et/ou les services proposés par cette dernière. En exploitant intelligemment les buyer personas, l’entreprise pourra rentabiliser son investissement grâce à une stratégie digitale efficace. De plus, elle pourra durablement augmenter leur chiffre d’affaires.

Faire de l’inbound marketing pour attirer des clients

À partir du moment où l’entreprise a clairement identifié le client parfait, elle peut désormais lui proposer du contenu sur mesure, adapté à ses préoccupations et qui répond naturellement à ses problématiques. C’est ce que l’on appelle de l’inbound marketing, une discipline du marketing, destiné à attirer le client plutôt que d’aller vers lui. Les articles de blog, les infographies ou encore les avis d’experts sont tant de formats à exploiter pour s’adresser à sa cible au bon moment et au bon endroit.

Mettre au point la bonne stratégie de référencement naturel (SEO)

En 2021, le SEO reste la clé pour rester visible sur les moteurs de recherche. Cela consiste à optimiser son site internet afin de répondre aux exigences de Bing, Yahoo, mais plus spécifiquement de Google. Ce dernier est utilisé par plus de 90 % des Français. Et lorsque l’on sait que 80 % des internautes effectuent une recherche sur Google avant de faire un achat, il convient de rester parfaitement visible sur ce dernier. Pour cela, il faut rédiger du contenu avec les bons mots-clés, mettre en ligne du contenu original et à forte valeur ajoutée, mais aussi travailler les aspects techniques de son site internet.

Miser sur l’incroyable puissance des réseaux sociaux

Les réseaux sociaux comptent des millions d’utilisateurs. À coup sûr, vos clients et prospects s’y trouvent. Alors, qu’est-ce que vous attendez pour aller les chercher ? Sur Twitter, Instagram ou encore Facebook, créez des contenus engageants et originaux, utilisez les bons hashtags et multipliez les partenariats avec d’autres marques ou des influenceurs afin de renforcer votre présence. Vous pouvez également sponsoriser vos publications afin d’augmenter votre portée. Le trafic généré sur les réseaux sociaux est la clé pour augmenter le nombre de prospects transformés en clients.

Le mail pour communiquer intelligemment avec ces cibles

Après avoir identifié vos cibles, vous pouvez désormais leur adresser des messages capables de susciter leur intérêt. Au lieu d’opter pour une campagne SMS, faites plutôt le choix de l’emailing. En plus d’être moins onéreuse, cette solution permet de mieux évaluer la portée de sa campagne grâce à de nombreux indicateurs de performance (KPI). Le taux d’ouverture, le taux de rebond, le taux de délivrance, etc., sont tant de KPI pour mesurer la portée de vos actions.

Source : Les connectés

2022-05-18T18:55:19+02:002 octobre 2021|Catégories : Digital, Marketing, PME|Mots-clés : , , , , , |0 commentaire

Comment faire du marketing responsable une source d’innovation ?

Peu impliquées jusqu’ici dans les démarches RSE d’entreprises, les équipes marketing l’intègrent de plus en plus dans leurs stratégies. Tant mieux, le marketing responsable étant source de démarcation et d’innovation. C’est le point de vue de Benoît Chatelier, fondateur d’Askeet.

Les appels d’offres comprennent de plus en plus souvent des demandes en matière de développement durable. Les services achats des entreprises y sont très attentifs. D’après le baromètre 2019 de l’observatoire de l’achat responsable, 9 entreprises sur 10 interrogées ont une politique d’achat responsable. Les labels RSE comme Global Compact ou Ecolabel sont dorénavant recherchés des acheteurs.

Promouvoir sa marque tout en restant fidèle à ses valeurs

Si la RSE est intégrée depuis une bonne dizaine d’années dans la politique des entreprises, les équipes marketing étaient jusqu’ici peu impliquées dans cette démarche. Aujourd’hui, le client, qu’il soit B to C ou B to B, est passé à une nouvelle phase. « L’utilité d’un produit n’est plus le seul critère d’achat. L’entreprise doit aussi nourrir et partager ses valeurs », explique Paul-Antoine Raulin, development representativ chez Epic France, fondation qui lutte contre les inégalités. La difficulté réside dans l’envie de promouvoir sa marque tout en restant fidèle à ses valeurs. Deux choix s’offrent alors : mettre son budget marketing dans une campagne de référencement payant et dépenser cet argent chez Google, ou trouver une solution plus en phase avec les valeurs éthiques défendues.

L’hyper concurrence a fait émerger un fort besoin de sens : fournisseurs, investisseurs, partenaires, consommateurs, salariés, tous le ressentent. Les marques doivent donc s’adapter en mettant en avant leur impact social. De plus en plus d’entreprises souhaitent mettre en place des solutions de dons pouvant être reversées intégralement à des associations : arrondi en caisse, don sur salaire, don sur transaction sont autant de preuves concrètes que le bien social et le partage sont ancrés dans le mode de fonctionnement de l’entreprise. Une tendance qui améliore la fidélisation des clients et l’engagement de la marque.

Des demandes de prestataires engagés dans des démarches RSE

En B to C, toutes les études montrent que le comportement des consommateurs a changé. Mais en B to B aussi les entreprises sont de plus en plus en demande de prestataires engagés dans des démarches RSE. Alors qu’en 2015, UPS peinait à convaincre ses clients de payer un prix plus élevé pour réduire l’empreinte carbone, en 2016, la demande explose. UPS propose alors de replanter des arbres pour compenser les émissions carbones. Le succès est immédiat.

Le marketing responsable valorise et pérennise les actions RSE

La RSE donne aux entreprises une opportunité d’innover et de se démarquer. Le marketing doit s’en emparer pour valoriser et pérenniser les actions menées dans le cadre d’une stratégie RSE. Et pourquoi s’en priver alors que de nombreuses études montrent que la réputation des entreprises en matière de RSE est un facteur de performance. Elle ouvre de nouvelles opportunités et donne une avance concurrentielle. L’exemple de Michelin est emblématique. La marque crée en 2001 le service Fleet solution. Elle ne vend plus ses pneus aux transporteurs routiers mais leur propose une offre de location de pneus dont le prix se calcule en fonction du nombre de kilomètres parcourus. Elle peut se prévaloir de proposer une offre respectueuse de l’environnement excellente pour son image de marque ! Mais surtout l’offre est très rentable puisqu’elle a généré 600 millions d’euros de nouveaux business. Un sacré coup d’avance qui en fait aujourd’hui le leader mondial du service d’optimisation des pneumatiques pour les professionnels.

Le marketing responsable : le vrai risque serait de ne pas le faire

Le marketing responsable est donc une véritable source de valeur pour une entreprise de BtoB: amélioration de l’image de marque et de la notoriété, meilleure maîtrise des risques grâce à une vision de long terme, réduction des coûts, différenciation stratégique, meilleure visibilité et opportunité de référencement auprès de nouveaux distributeurs. En réalité, le vrai risque serait de ne pas le faire !

Source : E-marketing.fr

2020-07-22T15:48:10+02:0022 juillet 2020|Catégories : Digital, ETI, GE, Marketing, PME, TPE|Mots-clés : , , , , |0 commentaire

Marketing digital : Stratégies efficaces pour faire connaitre son entreprise

La visibilité sur Internet est un objectif que tout entrepreneur doit se fixer pour perdurer. En effet, lorsque vous êtes bien visibles sur Internet, vous aurez assez une bonne réputation. Cela contribue fortement à la bonne marche de vos activités. Retenez qu’aujourd’hui pratiquement tout se fait sur Internet et vous avez besoin d’un site web pour vous faire connaitre. Une fois que vous avez votre site web, vous devez adopter les stratégies suivantes pour mieux faire connaitre votre entreprise.

Créer son site web et bien le promouvoir

La réussite de toute entreprise est toujours tributaire de sa visibilité. Cela est aussi le cas sur Internet. Dans le cas d’espèce, vous devez vous afficher dans les premières pages des moteurs de recherches comme Google. Mais avant, il est essentiel de créer votre site web. Le site web est une vitrine où vous vous révélerez à vos clients tout en profitant des nombreux avantages qu’offre le marketing digital. Une fois que la création du site est faite, vous allez optimiser ce dernier. Vous devez alors faire en sorte que ledit site soit accessible depuis un appareil mobile. Outre cela, vous devez également vous assurer que votre site Internet est conforme aux exigences des moteurs de recherche. En outre, il est important d’optimiser le référencement naturel de votre site web. Il y va en effet de la visibilité de votre site sur Internet. En optimisant votre SEO, vous vous afficherez plus facilement en haut des pages des moteurs de recherches. Ainsi, vous atteindrez plus aisément votre cible sans quasiment rien dépenser. En outre, vous devez également faire du SEA pour vite atteindre l’objectif.

Le SEA, une stratégie efficace pour réussir au XXIe siècle

Le SEA (Search Engine Advertising ) est un référencement payant qui vous permettra d’avoir du trafic sur votre page web. Toutefois, sachez qu’il complète le SEO. En effet, l’achat des campagnes AdWords ne servirait à rien si votre contenu n’est pas pertinent ni de qualité. Néanmoins, retenez que le SEA vous permettra d’économiser plus de temps. Pour réussir votre SEA, vous devez obligatoirement définir les mots clés sur lesquels vous voulez vous positionner. En effet, c’est à base de ces mots clés que vous pouvez créer vos annonces publicitaires. Les biens et les services dont vous faites mention dans votre annonce publicitaire doivent aussi répondre aux attentes de ces mots clés. L’objectif ici est que ladite annonce publicitaire puisse se retrouver en bonne position dans les moteurs de recherches. Il faut noter qu’avec le référencement payant, votre site sera rapidement visible sur Internet. Aussi, vous aurez la possibilité de contrôler instantanément votre annonce en faisant les modifications nécessaires. Enfin, il vous permet d’amorcerer davantage votre SEO pour des résultats plus satisfaisants. Au nombre des stratégies SEA, il y a le netlinking, car il peut être payant. En outre, il y a le marketing programmatique.

Le marketing programmatique, une bonne manière de faire du SEA

Pour faire réellement connaitre votre entreprise, vous aurez à adopter un certain nombre de stratégies. Déjà, sachez que toutes les stratégies ne s’équivalent pas, mais vous trouverez toujours votre satisfaction. Le marketing programmatique est un ensemble d’action qui est réalisé automatiquement. Avec cette technique, dites-vous que c’est le consommateur que vous mettez au cœur de votre stratégie marketing. Il s’agit ici d’une efficace stratégie.

En effet, marketing programmatique vous donne la possibilité d’automatiser vos campagnes publicitaires tout en les rendant plus intelligentes. Aussi, la présente stratégie prend appui sur la scénarisation et l’automatisation pour vous satisfaire et satisfaire vos cibles. Cette stratégie est beaucoup plus axée sur les centres d’intérêt de la cible.

Cela dit, elle permet de cibler directement l’internaute en collectant et en analysant au préalable ses données comportementales. L’internaute sera alors constamment en face des publicités ciblées et aura à coup sûr, la réaction qu’il faut.

Les avantages notables du marketing programmatique

La stratégie du marketing programmatique est plus efficace en ce sens où elle vous permet de gagner du temps et d’avoir plus vite le résultat escompté. En employant ladite stratégie, vous avez de plus grandes chances de vendre vos biens et services, car vous êtes en face d’internautes plus réceptifs. Ladite stratégie vous fait également gagner du temps. Il faut noter que cette technique prend en compte les achats en temps réel de bannières publicitaires ou encore le Real Time Bidding (RTB). Toutefois, le programmatique va au-delà de ça puisqu’elle prend aussi en compte des modes d’achat à l’exemple des PMP (Private Market Places). Le programmatique permet alors de mettre en face du prospect, son besoin au meilleur moment. C’est ici, l’une des meilleures manières pour convertir un internaute en prospect. Avec le programmatique, vous ne dépendrez plus du temps long que peut prendre un chaînon humain avant qu’une vente n’aboutisse. Enfin, en définissant de manière précise votre cible, vous n’aurez plus à dépenser grand-chose avant de voir le prospect réagir à votre offre comme vous l’auriez souhaité. Cela dit, le programmatique vous aide aussi à réduire votre budget de communication.

Le display, un levier important du programmatique

Le display est un levier sur lequel s’appuie le programmatique pour qu’une entreprise se fasse bien connaitre. Le display prend en compte ici, tous les formats publicitaires graphiques comme les pop-up, les bannières publicitaires, etc. Dans le display marketing, vous pouvez investir en tant qu’entrepreneur dans une campagne de publicité afin de faire connaitre vos biens et services. Plusieurs techniques permettent de réussir sa campagne display programmatique. Le display programmatique permet de soumettre à l’audience la publicité dont elle a besoin au bon moment. La publicité display vous permet d’atteindre ainsi une bonne audience. Cela est une réalité, car le réseau Google Display permet à lui seul d’atteindre 90% du web mondial. Avec cette publicité, vous avez aussi un meilleur retour sur investissement grâce par exemple au processus d’achat automatisé. Pour réussir ici, vous devez construire une bannière pour chaque objectif que vous vous définirez. Il peut s’agir ici d’objectif de notoriété ou encore vous pouvez viser la génération de leads. Enfin, avant de vous lancer dans cette forme publicitaire, vous devez être conscient des visuels à utiliser. Aussi, vous devez garder à l’esprit ce que vous désirez promouvoir sans oublier le respect des dimensions des bannières publicitaires.

Réussir son référencement naturel, pour mieux se faire connaitre

Pour réussir votre SEO, vous êtes tenu de faire usage de mots clés stratégiques. Il s’agit ici des mots que votre cible emploie pour faire ses recherches sur Internet. Vous pouvez par exemple classer ces mots pertinents dans un classeur Excel. Dans ce classeur, vous prendrez une colonne pour les mots clés vitaux. Il s’agit là des mots clés qui vous permettront de mieux faire la description de votre activité. Ensuite, vous classerez les mots importants qui vous aideront à apporter la bonne information à votre cible. Enfin, vous allez utiliser des mots secondaires pour finir une demande. Ce faisant, lorsque l’internaute lance sa requête, vous avez plus de chance que votre page soit mise en avant par les moteurs de recherches. Ensuite, vous devez tenir compte du fait que ces mots clés sont fréquemment utilisés sur Internet avant de les employer. Cependant, n’utilisez pas des mots clés qui sont très concurrencés sur Internet.

S’assurer de la qualité de votre contenu

Vous devez aussi avoir un contenu pertinent et de qualité afin d’espérer occuper une bonne position dans les moteurs de recherche. Ici, vous êtes invité à utiliser vos mots clés dans les titres et même l’adresse URL de vos pages web. En outre, il ne faudrait pas bourrer votre contenu de mots clés, mais il faut les utiliser de façon stratégique. Aussi, ne faites pas du plagiat, car cela est beaucoup plus sanctionné sur la toile. Par ailleurs, vous devez obtenir des liens vers votre site Internet. Ainsi, vous gagnerez en réputation et les moteurs de recherches vous considéreront davantage. Dès lors, vous serez mieux référencés par ces derniers. Alors, mettez en jeu vos relations pour que plusieurs sites de qualités intègrent dans leurs contenus des liens vers votre site. La SEO est une technique moins onéreuse, mais demande que vous y mettiez réellement de l’énergie. En dehors du SEO et du SEA, vous avez également le SMO qui est aussi une stratégie efficace pour révéler votre entreprise sur Internet.

Le social média optimization, pour une visibilité certaine de votre entreprise

Le Social Media Optimization (SMO) est également une bonne stratégie pour faire connaitre convenablement votre entreprise. Vous ne pourrez pas réellement réussir votre marketing aujourd’hui sans profiter du potentiel qu’offrent les réseaux sociaux comme Facebook, Instagram, Twitter et autres. Il faut aussi noter que ce moyen de communiquer avec les internautes n’est pas onéreux comparativement à une campagne publicitaire. De plus, sur ces réseaux sociaux, vous avez de plus grandes chances d’avoir plusieurs prospects. En effet, sur ces réseaux, vos publications peuvent être aimées par ceux qui vous suivent ou même partagées. Il vous suffit de publier régulièrement des contenus pertinents et de qualité et la magie pourra s’opérer. En publiant fréquemment aussi, votre entreprise sera encore plus visible. Il est alors important de bien animer vos pages sur ces réseaux. Votre présence sur ces réseaux rassure également vos prospects, car ils vous sentiront plus proches d’eux. Vous paraîtrez alors plus crédible et votre site aura du trafic comme vous l’auriez souhaité.

Source : IndiceRH

2020-07-17T16:49:13+02:0017 juillet 2020|Catégories : Digital, Marketing, PME, TPE|Mots-clés : , , , , , , |1 Commentaire

Pourquoi opter pour une stratégie d’Inbound Marketing ?

Le monde du digital ne cesse d’être animé par de nombreuses mutations en tous genres. L’apparition de nouveaux standards, l’essoufflement constaté d’anciennes techniques marketing sont deux facteurs ayant donnés lieu à un remodelage des procédés digitaux…

Devant faire face à des exigences toujours plus grandes des internautes, les marques désirant se démarquer se doivent d’innover et de trouver de nouvelles techniques plus appropriées.

L’une des solutions ayant apparu au cours de cette dernière décennie s’avère être l’inbound marketing. Mais qu’est-ce que l’inbound marketing au juste ? Quelle est son utilité ? Comment mettre en place cette stratégie ? Ce sont probablement des questionnements auxquels vous avez déjà fait face.

L’inbound offre la possibilité d’amener du trafic sur votre site, d’acquérir des leads ainsi que des clients grâce à une stratégie complète. Voyons sans plus attendre en quoi l’inbound marketing est un atout incontestable à nécessairement incorporer dans votre stratégie.

QU’EST-CE QUE L’INBOUND MARKETING ?

Cette technique marketing a fait son apparition en réponse à la baisse de performance du marketing dit traditionnel, appelé outbound marketing. L’outbound marketing repose essentiellement sur l’utilisation abusive de publicités en tout genre. Le caractère intrusif est la principale cause du désintéressement des utilisateurs envers ce modèle.

En effet, cette technique marketing vise à cibler un grand nombre d’utilisateurs sans segmentation préalable. La grande majorité des personnes ciblées s’avéreront ne jamais être clients car ils ne correspondent en aucun point au message véhiculé. Généralement, les budgets alloués à ce type de marketing sont faramineux et ne délivrent pas de forts R.O.I (retour sur investissement).

L’inbound marketing, quant à lui, se présente comme une technique visant à susciter l’intérêt des prospects en mettant en avant du contenu attrayant, travaillé et adéquat à leur état d’avancement dans un processus d’achat.

C’est en ce sens que l’on peut dire que cette technique marketing permet donc d’apporter une expérience singulière au regard du comportement et du profil de chaque prospect.

En mettant bien plus l’axe sur une personnalisation de l’expérience client, l’inbound marketing se distingue du marketing de masse. Publier le bon contenu avec le bon timing propulsera votre marketing à un tout autre niveau de pertinence aux yeux de vos clients. L’inbound marketing, pour résumer, est un ensemble de leviers qui vous permettront d’atteindre votre objectif qui est de fournir du contenu marketing qui sera apprécié par votre audience.

INBOUND MARKETING : DES LEVIERS POUR DIFFÉRENTS OBJECTIFS

Avant de vous essayer à l’inbound marketing, il convient de bien cerner la méthodologie de cette stratégie. Cette dernière peut se résumer en quatre grandes phases bien distinctes entre elles. Chacune de ces étapes s’adapte parfaitement au processus d’achat de vos éventuels clients en s’appuyant sur des leviers spécifiques, et ce, au bon moment.

ACQUÉRIR DES VISITEURS

Sûrement l’une des phases les plus complexes de la stratégie, la mettre en place et en poser les fondations. En effet, à ce stade vous recherchez à attirer naturellement vers votre site web des inconnus ne connaissant pas encore votre marque.

Pour générer ce trafic sur votre site de façon naturelle, il existe une multitude de techniques et d’outils tels que le partage sur les réseaux sociaux, le travail de votre SEO (référencement organique) ainsi que la création de contenu à forte valeur ajoutée.

L’ensemble des outils énumérés sont tout aussi pertinents les uns que les autres de par le rôle qu’ils vont jouer dans cette phase d’attraction des visiteurs. Visibilité de votre marque et intérêt envers celle-ci sont des résultantes inhérentes à la mise en place de ces actions.

CONVERTIR CES VISITEURS EN LEADS

Une fois cette étape de génération de trafic passée, il convient maintenant de les amener à la prochaine phase du processus d’achat, à savoir la conversion en lead. Il est vrai que si la totalité des visiteurs quitte votre site une fois qu’ils ont lu le contenu qui les y aura conduits sans aucun passage à l’action, cette action aura été vaine.

La finalité de cette étape sera donc de qualifier le trafic généré en leads ainsi que de récolter un ensemble d’informations capitales sur ces derniers afin de faciliter leur suivi. Là encore, s’appuyer sur différents outils est de mise :

  • C.T.A (call-to-action) :

Les call-to-action sont des boutons, généralement très visibles, vous permettant de rediriger votre trafic vers des landing pages où il sera incité à échanger des informations personnelles contre une offre de contenu.

  • Landing page :

La landing page est une page sur laquelle le visiteur va atterrir suite à un clic sur un C.T.A. Cette page doit avoir un design épuré et contenir les informations clés. Il faut y mettre en valeur une offre, associée à un formulaire via lequel vous pourrez obtenir le Graal que représentent les informations personnelles de ce visiteur.

  • Formulaires :

En remplissant le formulaire que vous avez mis en place, votre prospect vous donne matière à mieux le connaître et donc à mieux cibler votre communication. En mettant en place ces actions, vous augmentez donc vos chances d’avoir des retombées positives et de le séduire.

  • C.R.M :

L’utilisation d’un logiciel de C.R.M (Customer Relationship Management) est fortement recommandée afin de centraliser l’ensemble des informations dans des fiches individuelles par prospect. Cela vous permettra de faciliter la gestion de ces derniers et donc votre segmentation.

CONVERTIR CES LEADS EN CLIENTS

Les leads maintenant qualifiés, il convient de passer à l’étape suivante, à savoir la conversion de ces derniers en clients de votre entreprise. Mais comment y parvenir ? Et bien il est temps de mettre en place des actions telles que des campagnes emailing, la mise en place de marketing automation ainsi que du lead scoring.

  • Lead scoring

C’est tout simplement un système de notation de vos leads sur la base de critères prédéfinis afin de vous faire gagner du temps en priorisant la prise de contact avec certains profils ou non.

  • Campagne emailing

L’une des meilleures façons de susciter l’intérêt d’un prospect reste de lui envoyer du contenu qui l’intéresse tout en lui faisant prendre conscience subtilement que votre entreprise lui est nécessaire.

  • Marketing automation

L’objectif est simple : éviter au maximum la perte de temps liée aux tâches répétitives. Le marketing automation vise à mettre en place un certain nombre de processus (workflows) s’activant automatiquement en fonction de la phase dans laquelle un prospect se trouve.

FIDÉLISER VOS CLIENTS

Ces leads maintenant convertis en clients de votre entreprise, il convient d’entamer la phase finale et de les fidéliser. En effet, acquérir un nouveau client engendre bien plus de dépense que de le fidéliser. Mieux vaut donc éviter d’afficher des taux de rétention client trop bas.

Pour ce faire, vous avez la possibilité de vous appuyer sur les réseaux sociaux et la personnalisation de contenu. Il est vrai que les réseaux sociaux vous permettent d’attirer de nouveaux prospects mais c’est aussi une véritable arme sur laquelle vous appuyer afin d’entretenir une relation de confiance et de proximité avec vos clients.

Afin d’aller au-delà de cela, la personnalisation de l’expérience client engendra une forte hausse de la fidélité envers votre marque (exemple: anniversaire, meilleurs clients, etc.). Et ne l’oubliez jamais, il n’y a pas meilleure communication que celle faite par un client satisfait.

COMMENT BIEN DÉBUTER VOTRE STRATÉGIE D’INBOUND MARKETING ?

De nos jours, l’efficacité de cette technique marketing n’est plus à démontrer. Mais hélas, un grand nombre d’entreprises reste encore en marge de ces procédés. Cela s’explique majoritairement par un manque de connaissance ou de ressources internes afin de la mettre en place.

Bien souvent, c’est à la phase d’acquisition de trafic que les non-initiés rencontrent le plus de difficultés. Afin de pallier cela, il est généralement conseillé aux novices en la matière de se faire accompagner par de véritables experts en la matière afin d’avoir les meilleures performances possibles.

L’un des moyens les plus rapides et efficaces afin de générer du trafic qualifié reste encore d’opter pour l’utilisation d’articles sponsorisés. C’est ici que des plateformes de mise en relation avec des médias et blogueurs influents tels que getfluence viennent prendre tout leur sens.

Passer par ce type de service vous offre l’assurance d’un accompagnement de qualité, de propositions pertinentes et d’un retour sur investissement. De plus, getfluence vous donne accès à la solution la plus adaptée à votre budget mais aussi à votre besoin.

Donc, si nous devions vous donner un seul conseil, c’est de privilégier le recours à  des professionnels du domaine afin de mettre en place votre stratégie afin qu’elle soit la plus efficace et concluante que possible pour votre entreprise.

Source : webmarketing-com.com

2019-07-17T11:07:20+02:0017 juillet 2019|Catégories : Digital, ETI, GE, Marketing, PME, Réseaux sociaux, TPE|Mots-clés : , , , , |0 commentaire

Marketing digital nouvelle génération : les clefs de la réussite 2019

Le marketing est un enjeu pour toutes les entreprises. Il est depuis longtemps l’objet de techniques abouties, dont l’efficacité dans la décision d’achat n’est plus à démontrer. Avec l’essor d’Internet, qui a chamboulé les modes de consommation, le marketing a su se réinventer pour coller aux nouvelles technologies. C’est le marketing digital nouvelle génération qui est désormais utilisé par les communicants. Le marketing digital des années précédentes est déjà obsolète.

De quoi s’agit-il et sur quels leviers de marketing digital s’appuyer en 2019 pour connaître assurément le succès ? Éléments de réponse.

Marketing digital nouvelle génération : c’est quoi exactement ?

Le marketing digital nouvelle génération va plus loin que les techniques de marketing digital utilisées depuis l’essor d’Internet et des technologies mobiles. Il s’agit de proposer une communication personnalisée au prospect, ce qui nécessite de bien connaître ses habitudes et de savoir anticiper ses besoins et ses réactions.

Les nouveaux enjeux à intégrer dans sa stratégie

Pour toucher les clients et prospects, il est désormais plus percutant de s’adresser à chacun d’entre eux. Finie donc la communication de masse et unique. Il s’agit désormais de cibler au maximum pour une communication personnalisée. Pour déclencher la décision de consommer, il s’agit donc d’utiliser un message adapté, sur le support adéquat.

Story et contenu éphémère

Le contenu éphémère est le mode de communication qui connait une croissance fulgurante en 2019. Simples et rapides à mettre en place, il s’agit de deux ou trois posts visuels qui ont un lien entre eux, qui racontent une histoire. Leur rapport qualité-prix est souvent imbattable, car ils assurent une grande audience en un minimum de temps, puisque la story créée disparaît après un certain délai, le plus souvent 24h. Voir le début de l’histoire donne envie de découvrir la suite, le storytelling contribue à fidéliser et joue sur l’impatience. Ce dernier sentiment est par ailleurs renforcé par l’urgence à visualiser le post et à répondre au call to action qui accompagne souvent le spot de communication.

La vidéo

La vidéo est un média de plus en plus sollicité via les nouvelles technologies, c’est donc un levier de marketing digital légitime sur lequel jouer pour être visible de vos clients et prospects. Les taux de notoriété et de retour sont plus qu’encourageants.

La recherche vocale

Les appareils mobiles, de plus en plus utilisés pour surfer sur le net, sont dotés d’outils permettant la recherche vocale. Il s’agit de commander une recherche à l’appareil oralement, par la voix, tout simplement en lui parlant. Cela vient impacter notamment les mots clés à inclure dans ses publications et qui sont scrutés par les moteurs de recherche pour le référencement web. En effet, la recherche est souvent dictée par une phrase complète et non pas par quelques mots comme sur une recherche au clavier.
Pas étonnant de voir en parallèle l’augmentation de l’utilisation du QR Code, rapide et efficace.

Le direct (vidéo en direct)

Les vidéos en direct permettent de créer facilement des événementiels. Ils sont toujours un succès, car les clients et prospects de la génération Z se veulent être des acteurs de la société. Ils attendent de l’interaction avec les entreprises, souhaitent en savoir plus avant de leur accorder leur confiance. Ils aiment avoir le sentiment d’influencer leurs décisions et leurs stratégies.

La crédibilité des influenceurs et micro-influenceurs

Les influenceurs ont une grande communauté qui ne jurent que par eux. Un partenariat avec l’une de ses stars du net peut rapporter gros, en termes de notoriété et de chiffre d’affaires. Mais travailler avec les micro-influenceurs est tout aussi intéressant. Un tel partenariat présente l’avantage d’affiner la cible, et donc les taux de transformation.

Le contenu interactif

Les internautes appréciant d’être impliqués pleinement, et le recueil d’information permettant de mieux cibler (on parle de longue traine), le contenu interactif s’avère être extrêmement intéressant d’un point de vue marketing. C’est un moyen simple et efficace de recueillir des données qualifiées sur les prospects. Les jeux en ligne, comme les quizz ou les concours, mais aussi les sondages sont très prolifiques.

Les facteurs clés du succès

Communiquer sur le net ne suffit pas pour connaître le succès. Il s’agit d’avoir une stratégie digitale pour pouvoir en tirer tous les bénéfices possibles.

Se faire accompagner d’experts spécialisés dans chaque domaine

Le marketing digital nouvelle génération est complet et complexe. Les interactions sont instantanées et souvent sans filtres. Le travail est chronophage et le bad buzz peut vite survenir. Il est donc préférable de confier les différentes tâches requises à plusieurs professionnels, chacun ayant son domaine de prédilection. Un rédacteur pourra produire du contenu récurrent et de qualité. Un spécialiste du SEO validera les mots clés utiles au référencement, qu’il surveillera par ailleurs. Un community manager se chargera de l’animation de la communauté sur les réseaux sociaux… Toute une équipe de professionnels accompagne la mise en place de la stratégie digitale.

Créer du contenu de qualité

Tenir et animer un blog permet de diffuser de l’information à sa cible. Celle-ci sera d’autant plus fidèle et impliqué qu’elle pourra trouver des informations utiles et régulières. Il ne s’agit donc pas de publier pour publier, mais d’informer et de raccrocher son domaine d’activité, ses produits et/ou ses services à l’actualité du moment.

Prioriser ses objectifs

Le marketing digital nouvelle génération est si étendu qu’il peut permettre de répondre à plusieurs objectifs, parfois en simultané. Pour ne pas se perdre, optimiser sa présence et donc les retombées attendues, il est important de prioriser ses objectifs lors de la mise en œuvre de la stratégie digitale : notoriété, nouvelles cibles, lancement de produit, chiffre d’affaires, redorer son image…

Un objectif idéal est réalisable, flexible et daté.

Collecter, évaluer à tout prix vos données statistiques

Le marketing digital repose sur la connaissance de ses cibles. La collecte et l’analyse des informations transmises par les clients et prospects est donc essentielle. Il convient de récupérer le plus d’informations exploitables possibles pour affiner sa stratégie de communication digitale et atteindre ses objectifs. Notons que la récupération des données personnelles doit se faire en accord avec la RGPD.

Être en phase avec les nouveaux canaux de communication

Pour être efficace, le marketing digital nouvelle génération multiplie sa présence sur plusieurs types de supports, notamment les réseaux sociaux. Il faut donc maîtriser les codes de chaque canal de communication, car ils peuvent varier d’un support à l’autre. En d’autres termes il faut être à la page, surtout quand on voit la rapidité des avancées technologiques des géants comme Facebook qui sont en phase de finalisation de leur crypocurrency Libra. Tout va très vite et rien ne doit vous échapper.

Faire de la pub sur Internet, réseaux sociaux mais ciblée

Le public passe énormément de temps sur les réseaux sociaux. Par conséquent, votre cible aussi. Il est donc important de faire sa pub sur les réseaux sociaux. Toutefois, là aussi, il faudra affiner au maximum sa cible et déterminer le meilleur moyen de la toucher sans gaspiller un précieux budget comme le détaille cet article. Car la pub sur les réseaux sociaux peut prendre plusieurs formes, avec des commentaires, des posts, des vidéos live, l’animation de sa propre communauté, des posts sur son actualité…

Soyez curieux, créatif, ne cessez jamais d’apprendre

Le monde virtuel ne s’arrête jamais. Les nouveautés y sont quotidiennes. La révolution de la consommation d’Internet et de manière plus générale du digital est permanente. Il est donc essentiel de ne pas rester sur ses acquis. Opérer à une veille des nouvelles technologies, des nouvelles applis en vogue, de l’actualité de ses concurrents bien-sûr, des influenceurs en devenir… est incontournable pour assurer sa pérennité. Il faut aussi oser, faire preuve d’audace, quitte à parfois bousculer ses certitudes, ses habitudes et celles de sa cible pour continuer à progresser.

Pour conclure

Le marketing digital nouvelle génération n’a plus grand chose à voir avec le marketing digital. Si les bases sont toujours présentes, le rythme des communications y est effréné et surtout, elles sont ciblées, affinées et personnalisées au maximum. Parce que la recherche, l’imagination et l’innovation n’ont pas de limites, il est nécessaire de rester en veille et de faire preuve d’une grande faculté d’adaptation aux nouveaux profils des consommateurs de la génération Z.

Source : mlactu.fr

2019-07-07T11:54:43+02:008 juillet 2019|Catégories : Digital, ETI, GE, Marketing, PME, TPE|Mots-clés : , , |0 commentaire

Le marketing d’influence à l’aube d’une nouvelle ère

La montée des micro-influenceurs, l’explosion de nouveaux réseaux sociaux en seulement quelques mois, la tendance de l’audio, la mort du système d’influence e-RP… Une nouvelle ère se dessine pour le marketing d’influence.

QUELLES SONT LES GRANDES TENDANCES MARKETING D’INFLUENCE 2019 ?

Le marketing d’influence a déferlé sur le social media depuis le début des années 2010. Une grande partie des directeurs marketing connaissent le système, et il est maintenant rare de voir une stratégie sans volet influence. Mais les stratégies qui fonctionnaient l’an dernier pourraient ne pas marcher en 2019. Après que les top influenceurs aient clairement souhaité arrêter de travailler avec des marques trop centrées produit et e-RP, nous sommes dans l’ère du marketing d’influence audience centric.

LE MARKETING D’INFLUENCE AUDIENCE CENTRIC, QU’EST-CE QUE ÇA VEUT DIRE ?  

Les top trends du marketing d’influence mènent vers une même conclusion : les audiences sont plus cross-canal que jamais.

L’avènement de nouveaux réseaux et de nouvelles manière d’appréhender l’influence

Angela Ahrendts, VP Marketing chez Apple, disait début 2019 que les marques allaient devoir parler de la même manière sur tous leurs canaux de communication. “Chez TANKE, nous mêlons les expertises pour éviter que l’influence reste ‘dans son coin’. Vous avez besoin de leads ? Nous construisons une landing page. Vous voulez aller en TV ? Nous créons un concept qui s’adapte à l’ensemble de votre territoire de marque pour vous le décliner sur un maximum de réseaux” précise Nicolas, Creative Business Developer chez TANKE.

Il faut penser large, et aller chercher les audiences où elles sont. Pour toucher les plus jeunes, il faut avoir les bons réseaux (TikTok, Snapchat, YouTube) et le bon contenu. Pour créer des rendez-vous communautaires, rendez-vous sur Twitch. Mais créer le contenu adéquat n’est pas toujours simple, d’où l’importance de s’appuyer sur l’expertise des agences, mais aussi des influenceurs, qui connaissent leurs audiences mieux que personne.

L’audio fait un retour en force

Le podcast fait également un retour en force en 2019. Ce média à la demande permet à ses utilisateurs d’y revenir quand ils le souhaitent. Plus intéressant encore, 55% des 18-24 ans disent que le son est une échappatoire à la sur-stimulation visuelle.

De nombreuses marques de luxe comme Chanel ou Guerlain ont déjà lancé leur podcast brandé pour diffuser leur image de marque, et la tendance va encore d’augmenter en 2019.

Les micro-influenceurs vont fortement impacter le marché

La micro et même la nano influence ont déjà un énorme impact sur le marché. “Pour des clients comme Paramount ou Warner, nous pouvons atteindre 250k de followers reach et générer 150 contenus en 1 mois, entièrement généré par des micro-influenceurs entre 3000 et 50 000 abonnés”.

L’engagement est dorénavant plus important que le nombre followers. L’étude TANKE menée sur plus de 282 000 comptes Instagram démontre bien que le taux d’engagement moyen est nettement supérieur dès qu’on descend sous les 50k followers. “Nous avons également développé un outil Chrome pour faciliter les recherches d’influenceur, disponible pour tous, qui affiche le taux d’engagement directement sur Instagram” explique Ertan Anadol, CEO de TANKE. Vous pouvez obtenir le plug-in Taux d’engagement Instagram directement ici.

EN CONCLUSION, LE MARKETING D’INFLUENCE 2019 PAR TANKE, ÇA RESSEMBLE À QUOI ?

En 2019, le marketing d’influence va rentrer dans une nouvelle ère, plus intime, plus puissante, plus globale. Les marques vont devoir redoubler de créativité dans leur manière d’approcher des audiences qui connaissent bien les ficelles des réseaux sociaux.

La créativité va également prendre une part grandissante dans les campagnes. Gucci l’a bien compris en laissant des artistes influentes sur Instagram réinterpréter leur parfum Bloom. Le mot de la fin à Ertan Anadol, co-fondateur de TANKE : “En embrassant pleinement l’aspect créatif de l’influence via des talents affinitaires avec la marque, et en le couplant à de la data et de la performance, on est sûrs de générer l’impact attendu”.

Source : strategies.fr

2019-06-24T11:52:52+02:0024 juin 2019|Catégories : Communication, Digital, ETI, GE, Marketing, PME, Réseaux sociaux, TPE|Mots-clés : , , , , , |0 commentaire

L’entreprise frictionless, la nouvelle donne du monde digital

Qu’il s’agisse d’un client ou d’un fournisseur, l’engagement doit être transparent, car c’est un atout qui joue sur la réputation d’une l’organisation dans un monde digital.

Le terme « frictionless » est apparu comme un concept utilisé pour désigner une action réalisée avec peu de difficulté, un acte sans effort. Ce qualificatif est le plus souvent associé au marketing, à l’expérience client et aux processus de paiements.

Bien que le terme apparaisse dans tous les secteurs d’activités, il n’est pas nouveau en soi. Les accords de Schengen, entrés en vigueur en 1995, visent à créer un espace de libre circulation des personnes et des biens aussi frictionless que possible (sans subir de contrôles transfrontaliers).

Les consommateurs connaissent déjà ce terme sans s’en rendre compte. Le secteur du commerce est l’illustration parfaite de ce que signifie être frictionless. Sous l’impulsion d’entreprises technologiques comme Amazon ou eBay, le parcours d’achat a complètement changé pour les clients.

Dans cette nouvelle ère « zero touch », les consommateurs n’ont plus besoin d’avoir leurs moyens de paiement sur eux. Maintenant, ils peuvent acheter ou accéder à presque tout en un seul clic via leurs smartphones – vêtements, transports, divertissement, etc.

L’idée derrière cette pratique qui est maintenant une seconde nature pour des millions de consommateurs résultent de la faculté de faire une action d’une manière qui ne présente aucun obstacle pour celui qui la réalise. Notre monde devient frictionless et presque toutes les actions deviennent simples. Bien sûr, il reste encore du travail à faire lorsqu’il s’agit d’offrir une expérience omni-canal. Cela étant, les enseignes s’en rapprochent.

Aujourd’hui, notre monde frictionless s’est tellement développé qu’il serait difficile d’imaginer un processus sans cette commodité. Les possibilités de son expansion future sont passionnantes.

La clé du frictionless : les données

Le frictionless a explosé avec l’émergence des nouvelles technologies comme les smartphones, le cloud, le machine learning ou les assistants virtuels, pour n’en citer que quelques-unes. Toutes ces technologies produisent, stockent et analysent de grandes quantités de données, pour offrir de nouvelles expériences.

Les industries du transport, de la finance, de la distribution et bien d’autres encore ont été impactées par ce phénomène qui permet aux consommateurs de vivre une expérience sans effort qu’ils achètent un bien, voyagent ou bien interagissent avec leur banque ou assurance.

Même les administrations publiques embrassent ces nouvelles expériences : déclarations d’impôts en ligne, programmes de dématérialisation et procédures en ligne sont désormais courants et encouragés dans tous les domaines.

Cela a eu des répercussions sur les générations qui ont grandi avec ces technologies. Les générations « data-driven », Millennials et Generation Z, sont heureuses d’embrasser l’idée d’une société pleinement connectée et attendent une expérience frictionless des services qu’ils utilisent. Et les attentes sont élevées. Les consommateurs sont plus engagés et plus autonomes.

Mais qu’est-ce que cela signifie pour les entreprises ?

Ce qui est accepté et attendu dans le monde du consommateur, fait son chemin aujourd’hui dans le monde de l’entreprise. Qu’il s’agisse d’un client ou d’un fournisseur, l’engagement doit être transparent, car c’est un atout qui joue sur la réputation d’une l’organisation dans un monde digital. Les salariés désirent utiliser un logiciel aussi simplement qu’ils regardent une vidéo sur YouTube ou écoutent de la musique sur Spotify.

Dans le cadre de projet de chargement de données, ils veulent démarrer facilement, connecter sans effort des sources issues du cloud dans des entrepôts de données ou des data lake en quelques minutes. Et ils ont besoin que cela soit aussi simple que lorsqu’ils achètent sur Amazon.

Les générations “digital native” encouragent de nouvelles façons de consommer les données au sein d’une organisation. L’une des tendances majeures de cette génération est le modèle » pay-as-you-go » (PAYG), rendu possible par l’explosion des applications cloud.

Selon IDC, les entreprises leaders ont adopté des applications SaaS (solutions de gestion du capital humain, des voyages, de facturation, de notes de frais,…) à un taux supérieur de plus de 20 % par rapport à la moyenne des entreprises.

Le cloud a révolutionné la façon dont les organisations opèrent l’intégration de données. Ces nouveaux utilisateurs de la donnée veulent maintenant utiliser la technologie comme un service et non plus seulement comme un simple produit, tout en se libérant des taches d’installation et d’administration qui ne sont plus gérées en interne, mais par le fournisseur.

Ces spécialistes peuvent ainsi se concentrer sur les avantages réels de leur travail, l’acquisition et l’intégration de données dans le cloud, et fournir ainsi des analyses en temps réel pour améliorer leurs organisations.

L’intégration dans le cloud n’est pas une option pour cette génération, c’est une évidence. Ces nouveaux prescripteurs internes ouvrent la voie à une adoption plus massive du cloud et du self-service dans leurs organisations.

L’impact du RGPD

Plus l’interaction entre le client et le vendeur est frictionless, plus les questions relatives à la confidentialité et à la protection des données sont légitimes.

En effet, les données sont au cœur de la stratégie frictionless d’une organisation. Les volumes et les flux de données explosent, de même que le nombre d’entreprises qui traitent les données personnelles de leurs clients. De plus, en cas d’atteinte à la protection des données, l’intégrité des personnes est compromise, ce qui est l’une des principales préoccupations dans un monde frictionless.

Cependant, tout comme les expériences frictionless donnent plus d’autonomie aux personnes, les nouvelles réglementations en matière de protection des données confèrent aux entreprises des responsabilités en matière de confidentialité des données.

Des réglementations comme le RGPD jouent ainsi un rôle de « facilitateurs » ; les entreprises qui respectent les principes de la réglementation sont davantage perçues positivement par les consommateurs ou partenaires.

La réalité est que, quel que soit le public à adresser (clients, fournisseurs ou employés), les entreprises doivent pleinement adopter le principe de frictionless dans tous les aspects de leurs activités afin de devenir une organisation leader en 2019

Source : sillicon.fr

Aller en haut