Demain, l’intelligence artificielle va démultiplier les cyberattaques et encore plus fragiliser les entreprises

Une équipe de chercheurs en cyber prédit l’arrivée de malware basés sur l’intelligence artificielle d’ici 2028. S’il est trop complexe de les développer pour l’instant, ces programmes risquent de piéger plus efficacement les victimes et d’étendre les attaques à une échelle plus importante.

L’intelligence artificielle est utilisée pour détecter des menaces de cybersécurité. Ce n’est qu’une question de temps avant qu’elle ne soit aussi utilisée au service des pirates. Dans cinq ans environ, on devrait assister aux premières attaques du genre, prédisent les chercheurs en cyber de WithSecure, en partenariat avec l’Agence finlandaise, dans un rapport publié ce 14 décembre.

Actuellement, les pirates utilisent des failles connues dans les interfaces pour piéger leur victime et déposer leur malware. L’intelligence artificielle demande des ressources pour être développée, et donc des spécialistes capable de les programmer. Pour l’instant, les ransomwares sont assez efficaces et rapportent des millions aux pirates, mais les solutions de cybersécurité se multiplient aussi, et les secteurs les plus sensibles — avec les données les plus intéressantes — investissent dans leur protection.

Dans ce jeu du chat et de la souris, les intelligences artificielles seront un coup de pouce conséquent pour les hackers. Puisque l’IA fonctionne à partir d’une base de données, les développeurs devront programmer le logiciel pour qu’il trouve une solution dans divers scénarios.

Les nombreux dangers de l’IA

Les chercheurs de WithSecure et de l’agence finlandaise ont listé tous les avantages d’un malware basé sur l’IA :

  • La rapidité d’exécution : l’IA peut être utilisée pour automatiser des tâches qui sont aujourd’hui effectuées manuellement, comme l’extraction d’informations ou la découverte de vulnérabilités dans les logiciels. Ces missions peuvent être exécutées sur une machine à un rythme beaucoup plus rapide.
  • Une meilleure préparation : les cyberattaques fondées sur l’IA peuvent analyser et raisonner sur de plus grandes quantités de données, et donc explorer davantage de potentielles vulnérabilités. Alors qu’un humain peut rater des informations, le programme peut optimiser la recherche et ne négliger aucune piste.
  • Une infiltration sophistiquée : le phishing ciblé peut être personnalisé en fonction des victimes, s’adapter aux comportements et se fondre aux usages du système. Elles pourront également s’ajuster à différentes interfaces et apprendre pendent leur infiltration. Si la première attaque n’est pas la bonne, la seconde sera plus efficace.
Exemple de phishing
  • Une attaque plus étendue : un pirate pourra lancer des opérations automatisées contre de nombreuses cibles simultanément. L’attaque sera tout de suite propulsée à plus grande échelle avec de nombreuses personnalisations et des cibles différentes.

Dans de nombreux cas, l’IA pourra aider le hacker à piéger la victime, sans forcément rentrer dans le système. Les deep fake ainsi que le vishing — l’hameçonnage par la voix au téléphone — sont déjà des méthodes utilisées et sont amenées à se développer à l’avenir. Quelles que soient les avancées technologiques, les humains finissent toujours par y trouver un usage malveillant.

Source : numerama

2022-12-18T06:41:56+01:0018 décembre 2022|Catégories : Digital, ETI, GE, PME, TPE|Mots-clés : , |0 commentaire

Pourquoi le social shopping va monter en puissance en 2023

Le commerce social est déjà là, et il ne fera que s’amplifier, explique le cabinet Deloitte. Le marché du commerce social dépassera les 1 000 milliards de dollars l’année prochaine.

Le rapport « Technology, Media, and Telecommunications 2023 Predictions » de Deloitte examine certaines des tendances technologiques mondiales susceptibles de faire la différence au cours de l’année à venir. De nombreuses technologies y sont examinées. Nous avons choisi de nous concentrer sur la croissance du shopping social.

Deloitte prévoit que le marché du commerce social dépassera les 1 000 milliards de dollars l’année prochaine, grâce à plus de deux milliards de personnes qui utilisent des plateformes sociales en ligne pour faire des achats. C’est un marché qui croît plus rapidement que le commerce en ligne traditionnel.

Le succès des influenceurs sur les médias sociaux et leur capacité à inciter les gens à dépenser de l’argent, en particulier les consommateurs de la génération Z, est un facteur important de cette croissance. Comme le note Deloitte, la génération Z est la plus grande cohorte générationnelle du monde, représentant plus de 30 % de la population mondiale. Selon le cabinet, la plupart des membres de cette génération de digital natives ont tendance à être « tout social, tout en ligne, tout le temps ».

La puissance des habitudes de la génération Z

Le rapport note : « A l’avenir, les membres de la génération Z devraient continuer à être très présents en ligne. Ils continueront à recevoir des publicités hyperciblées et personnalisées pour les produits qu’ils veulent et dont ils ont besoin, et ce directement de la part des influenceurs qu’ils connaissent et aiment déjà. »

Jana Arbanas, vice-présidente de Deloitte, estime que la combinaison des influenceurs, des algorithmes et de la propension de la génération Z à acheter des articles en ligne contribue au boom du shopping numérique.

Selon elle, les entreprises qui investissent dans le marketing via les influenceurs bénéficient de campagnes moins coûteuses, de publicités ciblées et d’une augmentation des ventes. Elle estime que les marques peuvent utiliser les connaissances des algorithmes sur ce qui est pertinent pour les acheteurs afin de vendre plus de produits de manière plus efficace.

Allier algorithmes et influenceurs

« Les marques peuvent tirer parti de ces algorithmes, des algorithmes qui connaissent les clients, leurs intérêts et leurs besoins, et s’assurer que les marques correspondent à des intérêts complémentaires par rapport aux consommateurs », confie Jana Arbanas.

Historiquement, les annonceurs devaient élaborer des campagnes publicitaires pour un large éventail de consommateurs, et ces campagnes pouvaient être coûteuses à mettre en œuvre. Mais avec l’aide d’un influenceur qui fait la promotion d’un produit auprès de ses centaines de milliers, voire de ses millions d’adeptes, les campagnes publicitaires sont moins chères – et plus spécifiques.

« Autrefois, les gens investissaient dans des publicités très coûteuses et très produites. Ce n’était pas très agile, et c’était très général, pour une large population », souligne Jana Arbanas. « A l’inverse maintenant, avec les médias sociaux, vous pouvez très rapidement créer une série de campagnes en quelques instants. Et vous n’avez même pas besoin de créer le contenu ; votre influenceur le fait en votre nom. »

La plupart des expériences numériques devraient être considérées comme « achetables »

Deloitte prévoit que les fonctionnalités inaugurées par les médias sociaux se retrouveront bientôt ailleurs : « Si l’on se projette au-delà de 2023, la plupart des expériences numériques devraient être considérées comme « achetables », et le même comportement « cliquer pour acheter » disponible sur les plateformes de médias sociaux sera probablement possible avec d’autres services en ligne également », prédit le cabinet. Comme peut-être la possibilité de regarder une émission de cuisine sur des services de streaming, puis d’ajouter les ingrédients à son panier.

Source : ZDNet.com

2022-12-15T10:20:27+01:0015 décembre 2022|Catégories : Digital, eCommerce, ETI, GE, PME|Mots-clés : , |0 commentaire

Focus sur les tendances du marketing digital en 2022

Le marketing digital est en plein essor, d’autant plus depuis la crise sanitaire de 2020. Ça bouge très vite sur le net, les entreprises s’adaptent en permanence. Comment fonctionne la publicité digitale ? Quelles sont les tendances de l’année et quel sera l’avenir du marketing digital ? 

Qu’est-ce que le marketing digital ?

Entendons par marketing digital, la mise en place de canaux numériques, tels que les sites internet, les réseaux sociaux, les applications mobiles, les vidéos, ainsi que les podcasts, visant à promouvoir des produits ou une marque auprès d’une audience ciblée.

L’objectif est de :

  • attirer le plus de visites sur son site web ;
  • transformer le trafic en prospect d’achat ;
  • fidéliser les clients en développant une communication digitale basée sur la confiance et la transparence.

Quelles sont les tendances 2022-2023 de la publicité digitale ?

Chaque année, de nouvelles tendances viennent améliorer la stratégie de communication sur internet. Il n’y a qu’à voir la génération Z qui ne se passe plus du réseau social TikTok. Les entreprises l’ont bien compris et utilisent ce canal pour promouvoir leurs produits. Voyons de plus près les 17 stratégies marketing déjà en place et suivons leur évolution.

1. Responsabilité sociétale des entreprises

Aujourd’hui, le plus dur est de se démarquer des concurrents sur le net. Quand on sait que 3 sites web se créent chaque seconde dans le monde, il est important de sortir du lot pour être visible. La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) est en vogue, car elle permet de développer son activité en touchant une cible large et compatible avec ses propres valeurs environnementales et humaines.

Les moins de 30 ans, par exemple, sont les plus sensibles aux mouvements qui dénoncent les inégalités sociales et luttent pour les minorités, tels que “Me too.” ou la culture “Woke”.

2. Marketing d’influence

Les marketeurs d’influence sont persuadés que ce type de tendance augmente considérablement le ROI (retour sur investissement). Les influenceurs sont partout, ils nous accompagnent dans notre quotidien, sur les réseaux sociaux notamment. Ces leaders d’opinion élèvent l’image de marque d’une entreprise de manière fulgurante.

Investir dans le marketing d’influence, c’est avoir la garantie d’une visibilité rapide, efficace avec une conversion des leads importante.

3. Vidéos courtes et audios (podcasts)

Pour générer des résultats, les entreprises diffusent de plus en plus de vidéos courtes mettant en avant leur marque. Tout doit être dit en quelques secondes, l’image et le son doivent être percutants et donner envie au prospect d’interagir avec l’enseigne. Cette stratégie est adoptée aujourd’hui par 89 % des marketeurs du globe. Ils ont constaté en 2021 son efficacité, notamment sur Snapchat, Instagram et TikTok.

De la même manière, les contenus audios ou les podcasts ont pris de l’importance dans la communication digitale des entreprises. Initiés par ClubHouse en 2021, les réseaux sociaux, comme Facebook, LinkedIn et Twitter, ont développé le contenu audio pour augmenter leur notoriété et interagir avec leurs auditeurs. D’après les marketeurs, le retour sur investissement devrait se faire ressentir dans les mois et années à venir.

4. Inbound marketing : Storytelling et Blogging

Les consommateurs sont trop sollicités et pour les attirer naturellement, il faut s’adresser à eux et répondre clairement à leurs problématiques. Le storytelling est l’art de raconter une histoire qui va toucher le lecteur. Ils veulent de l’authentique, du vrai et en ont assez du blabla commercial. Les internautes sont de plus en plus nombreux à consulter les :

  • témoignages ;
  • avis ;
  • pages À propos ;
  • articles de blog ;
  • newsletters, etc.

La stratégie de contenu est incontournable puisqu’elle permet de faire de l’inbound marketing, soit du marketing entrant. C’est une méthode efficace et souvent rentable pour faire vivre votre site internet tout en apportant de l’information pertinente aux lecteurs. Avec du contenu bien ciblé, vous convertissez vos visiteurs en leads, puis en clients.
D’où l’importance de tenir un blog à jour, de préférence par des rédacteurs qualifiés qui sauront apporter leur technicité en optimisant les mots-clés et en développant le champ sémantique des requêtes cibles.

5. Backlinks

Proposer des liens vers un autre site fiable (d’autorité ou pas) est ce qu’on appelle les backlinks. Cette technique permet à un site web de gagner en notoriété et en positionnement auprès des algorithmes de Google. L’échange de backlinks se fait régulièrement dans le milieu digital. Attention toutefois de bien les choisir, car Google sait détecter ce qui est pertinent ou pas. Les marketeurs estiment que cette stratégie du web est efficace à 63 %.

6. Évènements en ligne : stratégie hybride

Les événements en ligne permettent aux individus de participer à des rencontres, des salons virtuels, des conférences… Le but est d’interagir avec son public tout en le fidélisant grâce à des rencontres régulières à heure fixe. L’internaute a le choix de s’inscrire ou de se joindre au live quand bon lui semble, sans bouger de chez lui.

Cette tendance marketing s’inscrit dans l’innovation des stratégies de communication des entreprises et devrait connaître de bons résultats en 2022.

7. Posts réguliers & éphémères sur les réseaux sociaux

Les réseaux sociaux sont incontournables quand on sait que 54 % des personnes dans le monde entier les utilisent plusieurs heures par jour. Pour une stratégie de contenu efficace, la combinaison entre des posts éphémères et des posts permanents est la méthode gagnante. Elle permet de maintenir un contenu visible et d’engager sa notoriété dans la durée.

8. Expérience utilisateur mobile

Impossible de passer à côté de l’expérience utilisateur mobile puisque presque tous les internautes font des recherches essentiellement sur leur téléphone ou tablette (92 % des internautes pour être précis). L’UX design et le web design sont autant importants pour les mobiles que pour les sites web.

9. Réalité virtuelle augmentée pour un marketing expérientiel

Le virtuel est entré dans nos maisons depuis quelques années déjà et ne cesse de s’améliorer pour ressembler de plus en plus au réel. Certaines enseignes n’hésitent pas à consacrer un budget important pour leur communication digitale, en diffusant des images de très haute qualité technologique ou des vidéos à 360°. Cela permet de plonger l’internaute au cœur de l’image de marque de l’entreprise en le captivant avec des supports hybrides et percutants.

Vous pouvez, par exemple, visiter des appartements en 3D, feuilleter des catalogues en ligne de fabricants de meubles comme si vous étiez sur place, et même humer les parfums de vos friandises préférées de manière virtuelle !

Le marketing expérientiel digital revient en force en 2022 après la période Covid-19 avec la réouverture physique des magasins et enseignes.

10. Référencement naturel (SEO)

Le référencement naturel d’un site web s’adapte en permanence aux nouvelles techniques SEO et aux mises à jour des algorithmes de Google. Les experts SEO sont de plus en plus recherchés par les entreprises afin de leur permettre d’attirer plus de trafic après une bonne analyse de leur site web.

Aujourd’hui, outre la stratégie de contenu qui est primordiale pour être visible sur la première page des résultats de recherche (SERP), les images et les contenus multimédia doivent aussi être pertinents et bien optimisés pour le référencement.

11. Recherche vocale

Les assistants vocaux se démocratisent avec l’apparition de Siri, Alexa ou encore Ok Google. Ils répondent habituellement à des questions courtes. Certaines entreprises mettent en place leur propre système de recherche vocale afin de répondre immédiatement aux questions de leurs clients. Cette tendance a émergé en 2021 et promet de se développer de plus en plus.

12. Réduction des cookies : RGPD renforcé

Le renforcement de la protection des données informatiques répond aussi à l’évolution ultra rapide de la technologie liée à l’intelligence artificielle. Toute entreprise qui détient un site web et collecte des données personnelles affiche de manière transparente le choix de l’internaute de collecter ou pas ces informations.

De plus, Google compte réduire ses cookies d’ici 2023, ce qui va demander aux entreprises de revoir leur stratégie publicitaire. Google Analytics est déjà dans le collimateur de la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL) à cause du transfert des données confidentielles vers les États-Unis.

13. Cible personnalisée et segmentation du contenu

L’importance d’une cible personnalisée prend de plus en plus de place dans la stratégie digitale d’une entreprise. Les internautes ne réagissent plus aux publicités fourre-tout. En s’adressant de manière personnalisée à l’audience cible, vous aurez plus d’impact pour attirer l’attention sur vos services ou produits.

La segmentation du contenu, quant à elle, permet de cibler les éventuels clients en fonction de la situation géographique et des intérêts proches de l’enseigne. Ainsi, en s’abonnant à votre newsletter, par exemple, l’internaute peut sélectionner les domaines qui l’intéressent et refuser les autres. L’opt-in et l’opt-out sont importants au vu d’une stratégie digitale de plus en plus affinée.

14. Marketing conversationnel : Chatbot

Les petits robots créés par l’IA sont partout, même dans l’administration ! Le Chatbot est entré dans les mœurs des entreprises et des institutions, comme si on parlait à un ami. Il humanise le site web et les réseaux sociaux permettant de répondre à une problématique ou en donnant des conseils en live.

L’expérience utilisateur est améliorée grâce au marketing conversationnel qui s’adapte aux nouveaux comportements des internautes via la messagerie instantanée.

15. Automatisation des tâches de marketing grâce à l’intelligence artificielle

En automatisant les tâches de marketing (marketing automation), l’entreprise a un suivi en temps réel sur :

  • l’évolution du trafic de son site web ;
  • l’analyse du comportement et des besoins des internautes dans le cadre du parcours utilisateur ;
  • le lancement automatique des campagnes publicitaires ;
  • l’analyse de l’histoire des achats pour les sites e-commerces.

L’IA permet de collecter et d’analyser toutes ces données, mais va plus loin encore, en générant une offre publicitaire personnalisée. Attention toutefois aux contenus générés automatiquement, ils sont désormais pénalisés par Google !

16. UGC (User generated content)

Ne dit-on pas que les clients sont les mieux placés pour parler d’un produit ou d’un service ? Les avis sur une entreprise, les témoignages, les commentaires sont de plus en plus utilisés comme stratégie marketing. C’est ce qu’on appelle l’User Generated Content (UGC).

En partageant leur retour d’expérience sur une enseigne, les internautes contribuent à la bonne (ou mauvaise) image de l’entreprise. Cette publicité gratuite va considérablement impacter les achats en ligne, puisque 90 % des internautes disent avoir été influencés dans leur décision après avoir lu les avis sur les produits ou services.

Ainsi, de plus en plus d’entreprises demandent à leurs clients satisfaits de mettre en scène leurs produits dans des photos ou vidéos courtes. De grandes marques ont adopté cette stratégie la poussant parfois à l’extrême pour une personnalisation ciblée et attirante.

17. La cryptomonnaie ou NFT : futur du marketing digital ?

Les blockchains ou cryptomonnaies se démocratisent elles aussi et pourraient entrer dans le cadre de la stratégie digitale des entreprises d’ici 2023. La NFT (ou jeton cryptographique stocké sur une blockchain) est une monnaie virtuelle basée sur la spéculation.

Twitter, racheté par le milliardaire Elon Musk, pourrait se lancer dans les cryptomonnaies d’après la Presse digitale. Des publicités en ligne, des produits ou des services payés en monnaie virtuelle ? Des spéculations sur les réseaux sociaux ? Tout est envisageable d’autant plus que Facebook semble aussi s’y intéresser.

Ce qu’il faut retenir, c’est que :

Le marketing en ligne s’inscrit dans l’ère d’une révolution digitale défendant des valeurs communes et permettant de répondre de manière ciblée aux attentes des clients.
En alliant l’intelligence artificielle à la monnaie virtuelle, le marketing digital augmente ses chances de réussir tout en s’adaptant sans cesse à l’évolution technologique, ainsi qu’à celle des comportements et des besoins de l’internaute.
La stratégie de contenu, qu’elle passe par un blog vivant, des vidéos courtes, un Chatbot, ou une communication en ligne ciblée, demande à être affinée pour toucher ses prospects.
L’ère numérique n’a pas fini de séduire les entreprises qui s’intéressent à leurs clients de manière personnalisée et en développant sans cesse de nouvelles stratégies !

Source : beavers agency

2022-10-27T05:22:20+02:0027 octobre 2022|Catégories : Digital, ETI, GE, Marketing, PME, TPE|Mots-clés : |0 commentaire

9 habitudes à bannir de vos écrits digitaux pour entretenir un bon relationnel

SMS, tchat, emails… Tous ces canaux de communication ont pris une part prépondérante avec l’intensification du travail à distance et apporté leurs lots d’incompréhension mutuelle. Conseils pour maintenir une communication efficace et sereine par écrit.

Avec le télétravail, l’écrit a pris une place prépondérante. Le défi consiste à éviter les travers qui nous jouent des tours. (…) Le télétravail multiplie les écrits par mail ou via les réseaux sociaux, la visioconférence, etc. L’écrit a pris le pas sur les échanges oraux. Ces télé-échanges sont une source d’incompréhensions, de quiproquos et de fâcheries. Cela développe des environnements tendus, nuisibles à la santé , qui pourrissent nos journées. La coopération et l’efficacité se dégradent.

L’état de nos relationnels est altéré ; c’est préjudiciable à notre réussite. Nos interprétations s’invitent et transparaissent dans nos écrits, montant en épingle des problèmes insignifiants. Nos rapports à l’autre se raidissent. Nous ne sommes pas témoins de la réaction de nos correspondants. Leurs interprétations et leurs conséquences nous échappent. Professionnaliser sa communication écrite devient un atout qui limite les malentendus et nous rend la vie plus apaisée, en préservant notre vie sociale tant privée que professionnelle.

(…) Prenez ce qui suit comme une boîte à outils [des travers à traquer dans vos, NDLR] écrits. Vous choisirez ce qui vous concerne. Adoptez ce que vous avez envie de travailler et laissez le reste pour plus tard.

1. Les adverbes

Observez le nombre d’adverbes contenus dans votre écrit. Sont-ils nombreux ? Si oui, en supprimant le maximum d’entre eux, vos textes seront plus fluides, plus faciles à lire. Ne gardez que les adverbes indispensables. Au début cela demande un effort. Ensuite, c’est presque un jeu. (…)

2. Les « que »

Un jour où mon agent d’édition me faisait des compliments sur mon écriture, elle a glissé : « Il y a encore un peu trop de ‘que’. » Ce n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Dans le langage parlé, les « que » ne choquent pas mais à la lecture, c’est lourd.

> Exemples : « Vous avez lu que pour libérer votre charme… » La même phrase sans le « que » : « La manière de libérer son charme consiste à… ». « C’est un travers que vous pouvez repérer » devient « C’est un travers facile à repérer ». Prononcez ces phrases à voix haute. Vous entendrez combien la musique est différente.

3. Les mots passes-partout

Nous avons tous des mots passe-partout. Ils sont pratiques mais nous en abusons. Cela n’a rien de grave dans un mail mais cela appauvrit le texte. Le verbe « permettre » est un mot passe-partout. C’est pratique quand on décrit l’usage de quelque chose. Sur un site marchand de hi-fi, je lisais le descriptif d’un appareil, toutes les deux lignes le matériel « permet de… ». Ce n’est pas terrible à lire. Une fois que ces abus sont repérés, il est intéressant de limiter leur usage. (….)

4. Les débuts de message factuels

Nous pensons être clairs en commençant un message par : « Pour faire suite » ou « Comme convenu » ou « Dans le cadre de » ou « Je vais vous répondre point par point », etc. Commencer ainsi réduit l’échange au strict plan du travail. Ce sont les faits, rien que les faits. À la rigueur, nous pouvons agir ainsi quand le présentiel prolongé rééquilibre le relationnel.

Par écrit, c’est prendre le risque que la relation se complique au moindre hiatus. Le relationnel est une soupape de sécurité utile quand l’échange grippe.

Sauf quand l’échange est immédiat en forme de « chat », un message doit commencer par quelque chose qui établit la relation. C’est le « passe relationnel ». D’une manière conventionnelle, cela peut être « J’espère que tout va bien pour vous » ou « Comment allez-vous ? », etc. (…)

5. Les débuts de message dévalorisants

(…) La phrase peut être du genre : « Ça fait des semaines que je remets à plus tard le fait de vous écrire. Je n’ai aucune excuse. » Non ! Pourquoi se flageller ainsi ? Souvent, il n’y a même pas lieu de modifier la suite de la phrase. Il suffit de supprimer cette partie. (…)

6. Les questions interro-négatives

(…) Cette forme (…) satisfait [un] besoin de convaincre. En l’employant, [on] oriente la réponse de son interlocuteur. Par écrit, cette forme met une pression, fût-elle légère, sur le destinataire. Inconsciemment celui-ci en tiendra compte dans sa réponse. Qu’il soit d’accord ou pas, il peut y mettre une forme de stress. Ça peut être l’objet d’un raidissement. À éviter. Exemple : « Ne vaut-il pas mieux utiliser le produit X ? »

7. Les accords en forme négative

Il y a un côté drôle à entendre ou à lire une personne qui emploie une forme négative pour vous donner son accord. « Est-ce que tu veux bien mettre en route cela ? » Réponse : « Pas de souci. » C’est curieux ! La forme négative a ses variantes comme « Pas de problème » ou « Ça ne me dérange pas ». Il y a des champions hors catégorie de cette forme d’accord. Cette forme évacue la dimension relationnelle. En répondant « C’est d’accord », « Avec plaisir » ou « Volontiers », le lien social persiste et montre davantage votre coopération. (…)

8. Le conditionnel présent

(…) « Je souhaiterais convenir d’un rendez-vous pour… » Sans le conditionnel cette demande devient : « Je souhaite convenir d’un rendez-vous pour… » (…) Les lecteurs trouveront la formulation sans conditionnel plus claire. Vous demandez quelque chose pour l’obtenir et votre interlocuteur garde la liberté de vous l’accorder ou pas.

9. Le manque de charme

Commencer sa communication par le prénom, le nom, éventuellement le statut, produit un relationnel plus favorable. Ce n’est pas du charme mais cette petite technique prédispose au charme. (…) Chaque fois que vous mettrez du charme dans votre relation, vous aurez toutes les chances que votre interlocuteur fasse de même. (…)

(…) Tout message, aussi insignifiant soit-il, peut être la source d’une « mécommunication » avec ses conséquences associées. Faites-en plutôt un atout relationnel. La règle d’or, c’est de se relire. Dans l’idéal, laissez passer un quart d’heure. Posez-vous les questions : est-ce que j’ai mis le « passe-relationnel » ? Est-ce que ma dernière phrase est du domaine social (bien cordialement, etc.) ? C’est bien sûr l’occasion d’ajuster son orthographe, de vérifier la syntaxe, de corriger ses travers.

Les auteurs :

Christian Becquereau est master coach depuis 1997. En qualité de dirigeant d’entreprises, il s’appuie sur ses réussites et ses revers. Il est l’auteur de Process Com pour les managers (Eyrolles, 2014). Sylvie Nélaton est coach depuis 2002 et a commencé sa carrière dans la direction de chantiers puis dans l’ingénierie. Direction d’une société, puis direction de grands projets en SSII, son parcours éclectique l’a amenée à exercer de multiples métiers.Ils sont certifiés PCM®. Ils forment les manageurs et sont coachs de dirigeants. Ce texte est extrait de leur livre, « Lâchez les comportements qui vous jouent des tours », paru aux Editions Eyrolles en juin 2022.

Source : Business Les echos

2022-10-12T15:08:33+02:0012 octobre 2022|Catégories : Communication, Digital, ETI, GE, PME, TPE|Mots-clés : , |0 commentaire

Comment relever le défi de la donnée dans l’e-commerce BtoB

Selon une étude produite par la BPI[1] sur les tendances majeures qui vont transformer l’économie mondiale au cours des prochaines décennies, la crise sanitaire a accéléré les processus de digitalisation opérés par les PME[2] et les ETI[3].

L’effet est d’autant plus important pour les entreprises provenant du secteur du e-commerce BtoB, car les ventes en ligne ont dépassé les 129 milliards d’euros en 2021[4], versus 112,2 en 2020 ou encore 103,4 en 2019. Les entreprises doivent désormais concilier leur stratégie commerciale à l’univers digital. Entre mutations technologiques et compétitions économiques, comment peuvent-elles relever le défi de la donnée ?

Maitriser l’arrivée de données massives dans l’entreprise

Le domaine du e-commerce BtoB connait un contexte de profondes évolutions. L’accélération du digital modifie les exigences et les attentes des entreprises françaises : expérience utilisateur, disponibilité en temps réel des produits, transparence dans l’utilisation faite des données personnelles doivent être au rendez-vous.

Afin d’assurer l’excellence opérationnelle et l’apport de solutions globales, l’exploitation de la donnée et son intégration au cœur de la stratégie d’entreprise deviennent primordiales.
Ainsi, nous constatons une augmentation progressive et massive du volume de datas traitées dans toutes les entreprises. Cela s’opère à une vitesse telle que certains processus peinent à s’adapter aussi rapidement pour en extraire de la valeur. En effet, il faut souligner qu’une donnée collectée n’est pas forcément porteuse de valeur d’un point de vue métier, que ce soit opérationnellement ou stratégiquement. Pour en garantir une exploitation optimale, il est essentiel de qualifier la source d’information, de comprendre son implication au sein du processus métier et de s’assurer de la véracité qui en découle.
Sur l’exploitation de la Data, les ETI ont un avantage compétitif par rapport aux grandes entreprises de par leur plus petite taille qui permet une meilleure agilité. Cette caractéristique leur permet de faire évoluer plus facilement leurs plateformes technologiques et de répliquer ces changements à travers leurs différentes lignes métiers ou filiales. Toutefois, elles demeurent confrontées aux mêmes exigences réglementaires que les plus grands groupes sur l’usage qui en est fait, sans disposer forcément des mêmes capacités budgétaires pour assurer leur exploitation.

Recruter et embarquer les collaborateurs dans la culture de la donnée

Pour maitriser et exploiter la Data, une entreprise doit miser sur ses collaborateurs. Insuffler une culture de la donnée permet de mettre en place des programmes de conduite du changement et de formation sur les outils et les services Data de l’entreprise. Par exemple, le déploiement de nouveaux modules de formation Data ouverts à tous les collaborateurs, donne un avantage supplémentaire à l’entreprise en matière d’exploitation et de traitement des données grâce à une meilleure sensibilisation des équipes.

Le recrutement est également clé dans le contexte actuel du marché du travail. En effet, on constate à la fois une hyperspécialisation des profils Data disponibles, ainsi qu’une forte demande de la part d’entreprises qui déploient actuellement leur transformation numérique. Au-delà des compétences techniques, les exigences vis-à-vis de ces profils sont en constante évolution. Par exemple, il est attendu d’eux qu’ils aient la capacité d’expliquer leurs modèles, en toute transparence, auprès du plus grand nombre. Ils doivent aussi pouvoir assurer une certaine éthique dans l’utilisation qui est faite de la donnée, et un certain niveau de contrôle sur les prises de décisions automatisées.

Attirer, recruter et fidéliser les talents, c’est sans doute LE challenge qui occupe l’esprit de tout Data Manager aujourd’hui. Cela nécessite tout d’abord de travailler sur le projet de transformation numérique de l’entreprise. Plus le projet d’entreprise est innovant et touche à des technologies répandues et reconnues, plus l’attractivité des candidats pour la société en question sera forte. De même ils se sentiront impliqués dans un projet d’envergure pour l’entreprise et stimulant au quotidien.

Pour être à la fois performante et attrayante, toute entreprise se doit de savoir exploiter avantageusement ses données. Cela s’effectue grâce aux équipes qui jouent un rôle primordial de l’analyse et l’évangélisation de la Data, et par le Top Management qui insuffle une culture de la donnée à l’ensemble de ses collaborateurs

[1] Étude de la BPI[2] PME : Petite ou moyenne entreprise[3] ETI : Entreprise de taille intermédiaire[4] Rapport de la Fevad

Source : Cadre & Dirigeant

2022-09-28T11:22:05+02:0028 septembre 2022|Catégories : Commerce, Digital, eCommerce, ETI, GE, PME|Mots-clés : , , |0 commentaire

TPE-PME : la garantie du « prêt transformation numérique » prolongée jusqu’en décembre 2023

Afin de faciliter l’obtention d’un prêt pour financer la transformation numérique des TPE-PME ne disposant pas de moyens suffisants, la garantie de prêt France Num est prolongée jusqu’au 31 décembre 2023.

Lancée en décembre 2020 par l’État et la Commission européenne, la garantie de prêt France Num a pour but de sécuriser les prêts que les banques partenaires accordent aux entreprises en vue de financer leurs outils digitaux.

La banque publique d’investissement Bpifrance s’engage ainsi à garantir jusqu’à 80 % des prêts dont le montant est compris entre 5 000 € et 50 000 €, sur une durée d’amortissement comprise entre 2 et 5 ans, dont un différé d’amortissement d’un an. Le coût de la garantie s’élève à 0,70 % du montant du prêt (ex. : pour un prêt de 10 000 €, le coût de la garantie est de 70 €). Ce prêt est donc sans garantie, ni sûretés réelles sur le patrimoine du dirigeant.

Ce dispositif est prolongé jusqu’au 31 décembre 2023.

Entreprises éligibles

La garantie de prêt France Num s’applique à l’ensemble des entreprises de moins de 50 salariés, peu importe leur secteur d’activité, implantées légalement et fiscalement en France depuis au moins 3 ans.

Projets et dépenses numériques concernés

Pour être couvert par la garantie, le prêt doit servir à une amélioration de l’entreprise dans l’un de ces domaines :

  • Relation client (ex. : marketing, expérience client, livraison des produits et sgervices) ;
  • Développement commercial (ex. : orientation vers de nouveaux marchés du point de vue géographique et/ou de la clientèle ciblée) ;
  • Sécurité informatique (ex. : protection de l’entreprise contre les attaques informatiques) ;
  • Innovations de produits ou de services en utilisant les technologies numériques ou développement de nouveaux modèles d’entreprise, comme la servicisation (ex. : l’ajout de services à des produits, voire le remplacement d’un produit par un service) ;;
  • Gestion de la chaîne logistique (ex. : modernisation des dispositifs de logistique) ;
  • Compétences et formations numériques des membres du personnel ou de la direction de l’entreprise ;
  • Processus internes à l’entreprise (ex. : modernisation des procédures de recrutement …).

Cette aide contribue donc à l’achat de matériels et équipements et aux dépenses permettant la transformation numérique de l’entreprise, dans la limite de 40 % du projet global :

  • acquisition de progiciels, de licences ou de droits de propriété intellectuelle ;
  • prestation de service en vue de la transformation numérique de l’entreprise ;
  • formation à l’utilisation des technologies numériques ;
  • recrutement de nouvelle compétence en numérique.

Sont exclues les dépenses suivantes :

  • crédit-bail (ou leasing : la location avec option d’achat) ;
  • opérations visant à financer uniquement le besoin de fonds de roulement ;
  • opérations de croissance externe ;
  • prêts in fine (remboursement du capital à l’échéance avec paiement des intérêts durant la durée du prêt) ;
  • refinancement des encours de crédit à moyen ou long terme.

Un simulateur d’éligibilité

Un simulateur du programme de l’Union européenne COSME (Programme pour la compétitivité des entreprises et des PME) vous permet de savoir si vous êtes éligible ou non à la garantie de prêt France Num.

Banques associées au dispositif

Voici la liste actuelle des banques commerciales associées à ce dispositif :

  • Bpifrance ;
  • CIC ;
  • Crédit Agricole S.A ;
  • Memo Bank ;
  • Crédit Mutuel ;
  • La Banque Postale ;

En bénéficiant de la garantie de Bpifrance, les banques conservent uniquement 20 % d’exposition en risque.

Source : netPME

2022-08-15T11:54:35+02:0015 août 2022|Catégories : Digital, PME, TPE|Mots-clés : , , |0 commentaire

Les mots de passe dont les pirates raffolent

Savez-vous combien d’informations personnelles vous divulguez sur les réseaux sociaux ? Chaque fois que vous répondez à un questionnaire, remplissez une enquête ou partagez une photo de votre anniversaire, des pirates informatiques attendent de les utiliser contre vous. Nous examinons comment ils s’y prennent et ce que vous pouvez faire pour y mettre fin.

Une étude de pCloud sur les mots de passe les plus prévisibles au monde a donné des résultats très alarmants. Il s’avère que les mots de passe les plus courants dont les pirates raffolent sont aussi les plus faciles à voler vos données. Quels sont les mots de passe les plus utilisés au monde, les réseaux sociaux les plus populaires que les hackers cherchent à pirater et finalement, quels sont les principaux conseils pour sécuriser vos mots de passe ? Lisez la suite pour découvrir.

Vous pourriez donner vos mots de passe sur les réseaux sociaux sans même le savoir, laissant les hackers accéder à vos comptes en quelques secondes.

Le saviez-vous ?

53 % des gens se fient à la mémoire pour stocker les mots de passe, ce qui signifie que nous recourons immédiatement à des mots de passe faciles à retenir, généralement constitués d’informations tirées de notre vie personnelle.

78 % de la génération Z utilise le même mot de passe pour tout, ce qui rend tous vos comptes facilement accessibles aux pirates.

Il ne coûte que 900 dollars à un hacker pour avoir un accès complet à votre téléphone, vos cartes de crédit et vos comptes de réseaux sociaux.

Comment mettez-vous vos informations personnelles en danger ?

Vous publiez peut-être une photo de vos cadeaux d’anniversaire, une photo adorable de votre bébé ou le bar “parfait” où vous avez passé le week-end. Mais ces posts apparemment inoffensifs peuvent en fait donner des informations de sécurité qui permettent aux pirates d’accéder à tous vos comptes.

Les données à l’origine du problème

LinkedIn, Facebook, eBay et Adobe ne sont que quelques-unes des entreprises qui ont récemment été victimes d’importantes violations de données, au cours desquelles des mots de passe et des informations personnelles ont été volés. Mais ce n’est pas le seul moyen pour les pirates d’avoir accès à vos courriels, à vos applications ou même à vos comptes bancaires. Avec 78 % de la génération Z utilisant les mêmes mots de passe pour tout, le monde a un gros problème. Si l’on ajoute à cela le fait que 53 % d’entre nous n’utilisent rien d’autre que leur mémoire pour stocker les mots de passe, il est logique que nous cherchions à garder les choses simples.

Les mots de passe les plus courants dont les pirates raffolent

Chacun a ses mots faciles à retenir, ce qui peut s’avérer utile lorsqu’il s’agit de mots de passe. Cependant, plus ils sont faciles à retenir, plus ils sont faciles à deviner par les pirates. Il ne faut que 10 minutes en moyenne à un pirate pour trouver un mot de passe de moins de six caractères, ce qui signifie que la plupart des mots de passe les plus populaires sont également parmi les plus faciles à craquer.

Ce qui est encore plus effrayant, c’est que vous pourriez donner toutes les informations dont un pirate a besoin rien qu’avec vos publications sur les réseaux sociaux. À partir de vos images, de vos stories, de la localisation et de la date de publication, les pirates peuvent facilement deviner les informations, faciles à mémoriser, que vous utilisez pour vos mots de passe.

Facebook est le réseau social le plus populaire auprès des pirates informatiques, avec une moyenne de 90 500 recherches par mois sur la façon de s’y prendre. Mais ces criminels ne veulent pas seulement voir les photos gênantes sur lesquelles vous avez été tagué – ils veulent vos données, et Facebook en regorge. Votre date de naissance, le nom de jeune fille de votre mère, le nom de votre animal de compagnie, votre adresse et même vos coordonnées bancaires peuvent être trouvés sur Facebook si les gens savent où chercher, ce qui en fait une mine d’or pour toute activité criminelle.

Instagram est le deuxième site le plus recherché, avec 60 500 recherches par mois. Comme il appartient à Facebook, il partage beaucoup d’informations, ce qui signifie que si vous pouvez accéder à l’un, vous pouvez souvent accéder à l’autre.

Un peu plus loin, avec seulement 6 600 recherches par mois, se trouve Snapchat. L’application est construite autour de la confidentialité, supprimant les messages dès que vous les avez lus, ce qui rend les informations que vous partagez plus difficiles à obtenir pour les pirates.

Les noms les plus courants pour les mots de passe

Qu’est-ce qui est plus facile à retenir que votre propre nom, ou le nom d’un proche, d’un partenaire ou d’un animal de compagnie ? Si vous vous appelez Eve, la réponse est rien. Eve est utilisée 7 169 777 fois dans des mots de passe en ligne, plus que Alex (7 117 656), Anna (6 512 390) et Max (5 670 058).

Les noms sont incroyablement faciles à trouver sur les réseaux sociaux, peu importe à qui ils appartiennent. Lorsque vous taguez votre partenaire, révélez le nom d’un membre de votre famille ou mentionnez une personne que vous appréciez, n’oubliez pas que ce n’est peut-être pas aussi innocent qu’il y paraît.

Ice (glace), tea (thé) et pie (tarte) sont tous des mots de passe communs pour la nourriture. Votre repas préféré ferait un excellent mot de passe, n’est-ce pas ? Eh bien, pas tout à fait.

L’énigme du calendrier : les jours de la semaine, les mois et même les saisons sont faciles à deviner.

Qu’il s’agisse d’anniversaires ou de dates de naissance, les dates faciles à mémoriser sont un choix classique de mots de passe. Le problème, c’est qu’une fois que quelqu’un a réussi à les déchiffrer, il est probable qu’il ait aussi découvert de nombreux autres codes personnels. Les dates étant faciles à trouver sur les réseaux sociaux, il est préférable de les éviter lorsqu’il s’agit de protéger des informations.

Summer (été) est la saison la plus populaire pour les mots de passe

Tout le monde aime l’été. Le temps chaud, les longues journées, les fêtes et, semble-t-il, les mots de passe font tous partie de la saison ensoleillée, avec 1 054 215 mentions de cette saison actuellement utilisées.

L’hiver arrive loin derrière avec 457 563, devant le printemps avec 347 917 et l’automne avec 151 668.

Quelle que soit la saison que vous préférez, il n’y en a que quatre à choisir, ce qui rend la tâche facile à tous ceux qui veulent y participer.

Les bébés du mois de mai composent plus de mots de passe que tout autre mois

Si votre date de naissance tombe en mai, vous faites partie des 152 218 personnes qui utilisent ce mois pour leur mot de passe en ligne. Le mois de juin arrive en deuxième position avec 66 097 utilisations, et le mois d’août complète le top 3 avec 63 457.

Il n’y a que 12 mois parmi lesquels choisir, donc peu importe votre date de naissance, avec suffisamment de temps, le pirate sera capable de trouver celui que vous avez choisi.

Le désir qu’il soit vendredi se trouve dans 157 139 mots de passe.

On vit pour le week-end, n’est-ce pas ? Le vendredi signifie la fin de la semaine de travail pour beaucoup, et les mots de passe pour 157 139 personnes. C’est de loin le jour de la semaine le plus populaire (tant pour les mots de passe que pour la vie), devant le lundi avec 138 231 utilisations et le dimanche avec 128 170.

2010 est l’année la plus utilisée dans les mots de passe

Il n’est peut-être pas surprenant de constater que 2010 est l’année la plus populaire pour les mots de passe. C’est l’année de naissance de la dernière vague de la génération Z, qui va utiliser les médias sociaux pour la première fois. Quelle que soit la raison, 2010 apparaît 10 000 000 de fois dans les mots de passe, plus que toute autre année. 1987 est deuxième avec 8 400 000 utilisations, et 1991 est troisième avec 8 300 000.

Si vous êtes né un vendredi du mois de mai, pendant l’été de 2010, il est peut-être temps de modifier vos paramètres de sécurité.

Top 20 mots de passe les plus courants en France

Votre mot de passe figure-t-il dans cette liste ? Il ne sera peut-être pas aussi difficile à deviner que prévu.

Top 20 des mots de passe les plus courant en France

90% des gens craignent de se faire voler leur mot de passe.

La sécurité fait partie des préoccupations de la plupart d’entre nous, puisque 90 % des internautes craignent que leurs mots de passe soient piratés. Pourtant, le même mot de passe est utilisé pour accéder à cinq comptes différents en moyenne, ce qui rend cette crainte très réaliste.

Que pouvez-vous donc faire pour rendre votre mot de passe plus sécurisé et maintenir les criminels à distance ?

Nos principaux conseils pour sécuriser vos mots de passe

  1. Choisissez un mot de passe long
    Plus un mot de passe est long, plus il est difficile de craquer. Rien ne vous empêche d’utiliser une phrase entière comme mot de passe, et cela pourrait rendre votre compte beaucoup plus sécurisé.
  2. Le non-sens a du sens
    Les phrases sans sens sont beaucoup plus difficiles à deviner que les phrases logiques.
  3. Mélangez les choses
    Utilisez une combinaison de mots, de chiffres, de lettres majuscules et de symboles pour ajouter un niveau de protection supplémentaire.
  4. N’utilisez pas d’informations personnelles
    Des informations telles que votre nom, votre date d’anniversaire, votre plat ou votre club sportif préféré sont faciles à trouver et à pirater.
  5. Ne réutilisez pas les mots de passe
    Utilisez des mots de passe différents pour différents comptes. Ils sont ainsi séparés et sécurisés, et si quelqu’un en devine un, il n’aura pas accès à tous les autres.

Les mots de passe les plus prévisibles au monde sont aussi les moins sécurisés. Si vous utilisez l’un de ces mots de passe courants, il est temps de les modifier. Consultez nos conseils pour créer de meilleurs mots de passe et assurer la sécurité de vos données. Et si vous ne voulez vraiment pas vous souvenir d’un million de mots de passe différents, essayez d’utiliser un service de stockage en ligne chiffré ou un gestionnaire de mots de passe : ils peuvent vous sauver la vie lorsqu’il s’agit de sécurité en ligne. Et pour finir, n’oubliez pas de mettre à jour vos mots de passe régulièrement !

Source : pCloud

2022-08-08T09:50:53+02:008 août 2022|Catégories : Digital, ETI, GE, PME, TPE|Mots-clés : , |0 commentaire

Digitalisation des entreprises : quels enjeux pour les PME ?

Réorganisation interne, amélioration de la collaboration, sécurité des données… Autant d’éléments que doivent prendre en compte les petites et moyennes entreprises lors de leur transformation digitale.

La transformation digitale ne concerne pas seulement les grandes sociétés. Pour rester compétitives, les petites et moyennes entreprises (PME) doivent également intégrer des solutions informatiques qui leur permettront d’accélérer leur croissance. Toutefois, cela implique de multiples changements, autant au niveau de l’organisation que du modèle économique.

Pour ces sociétés, les outils numériques sont la promesse de sources de revenus supplémentaires, de réduction de coûts et de modes de fonctionnement plus efficaces. Pour cette raison, la transformation digitale représente une véritable opportunité de développement, permettant de répondre aux différents enjeux auxquels les PME doivent faire face.

Améliorer sa gestion grâce à des outils digitaux

Les nouveaux outils digitaux sont de véritables avantages pour les PME, qui cherchent généralement à automatiser certaines tâches lors de leur phase de croissance. Certaines d’entre elles se tournent vers des solutions comme celle d’Apogea, intégrateur de logiciels de gestion et prestataire informatique, afin de gérer plus aisément leurs projets, leurs ressources humaines ou encore leur comptabilité. Ce type d’outils vise à les aider à organiser leur structure et leur fonctionnement.

Pour les PME, l’objectif est de trouver les solutions adaptées qui leur feront gagner du temps et qui leur permettront de répondre aisément à leurs besoins, tout en étant plus simples et pratiques. Un outil de gestion de projet, va permettre de planifier plus facilement les tâches et de créer un échéancier en quelques clics pour que chaque collaborateur puisse y accéder. Dans le cas où une entreprise souhaite améliorer sa gestion financière, le but est de trouver un outil qui permet d’éditer rapidement des factures, d’exporter et d’importer des données… En prenant le virage du digital, une entreprise s’assure de gagner du temps et d’optimiser ses processus opérationnels.

Accroître sa productivité et sa communication interne

Selon le baromètre 2021 de France Num, 33 % des TPE et des PME utilisent désormais des outils de collaboration professionnelle, soit 12 % de plus qu’en 2020. Ils sont aujourd’hui essentiels pour assurer une bonne communication interne et optimiser l’organisation au sein d’une équipe.

Les dernières solutions digitales, comme les réseaux sociaux d’entreprise, permettent de centraliser la communication pour s’y retrouver plus aisément dans un projet, mieux diffuser les informations et assurer la productivité de tous. Elles sont également indispensables pour que chaque collaborateur se sente impliqué dans l’activité de la société, et ainsi créer une culture d’entreprise solide.

Le CRM a aussi une place centrale sur le plan commercial et marketing. Il permet d’avoir toutes les informations liées au parcours client et au prospect au même endroit. Elles sont accessibles par toutes les équipes, qui peuvent collaborer facilement sur un même dossier.

Ces outils apparaissent comme des leviers puissants qui vont contribuer à améliorer l’organisation interne et la cohésion entre les différents services. Cela aura un impact positif sur les résultats d’une PME.

Optimiser l’expérience client pour répondre aux nouveaux usages

Avec l’avènement du digital, les nouveaux usages de consommation reposent désormais sur l’instantanéité et l’accessibilité. Pour les petites entreprises, l’enjeu est alors d’offrir une expérience client qui s’aligne sur ces nouveaux besoins et ces nouvelles pratiques. Pour faire face à la concurrence, les PME doivent fournir une expérience accessible et complète sur tous les supports de communication et de distribution : réseaux sociaux, e-mail, plateforme e-commerce, magasin physique…

Pour réaliser les décisions stratégiques adaptées, les PME doivent s’appuyer sur des données et des métriques pertinentes. Cela permet de mieux comprendre le marché sur lequel elles se positionnent pour améliorer leurs produits et leurs offres. Ces dernières nécessitent d’être personnalisées pour répondre correctement aux attentes de chaque consommateur.

Sécuriser ses données

La sécurité des données informatiques et des réseaux est au cœur de toute transformation digitale. Pour cela, certaines PME optent plutôt pour le stockage cloud. Accessible à distance, il permet de protéger le stockage et les serveurs de données, les systèmes d’exploitation, les applications…

D’après le Syntec Numérique, le taux de croissance des offres cloud par les éditeurs de logiciels d’entreprise était de 15 % en 2021, tandis qu’il était de 5,6 % en 2020. Qu’une société opte pour cette solution ou pour une autre, il convient de s’assurer qu’elle répond à l’objectif principal : garantir la sécurité des données stockées.

Pour répondre à chacun des enjeux de la digitalisation, les PME doivent définir clairement leurs buts pour choisir les outils adaptés qui leur permettront de poursuivre leur croissance. Il est toujours possible de se faire accompagner par des professionnels pour effectuer les bons choix.

Source : siecledigital

2022-06-18T17:03:00+02:0018 juin 2022|Catégories : Digital, PME|Mots-clés : , |0 commentaire

Le metaverse va-t-il succéder à internet ?

Selon Nick Clegg, l’ex vice-premier ministre britannique et actuel cadre supérieur chez Meta alias Facebook, le metaverse est indéniablement la suite logique d’internet. Et bien évidemment, les entreprises technologiques devront tout mettre en œuvre pour permettre garantir sa crédibilité auprès du grand public avant son adoption massive.

Alors que toutes les industries font face à une transformation numérique sans précédent, le metaverse prend progressivement une place de choix dans de nombreux secteurs. Selon Nick, si le metaverse comporte encore d’innombrables risques et défis, cette technologie, si elle est mise en place dans les bonnes conditions, peut être une composante clé pour l’inclusion. Et in fine, aider à rapprocher les personnes. Cela en comblant de manière efficace les fossés existantes dans les espaces physiques et numériques actuels.

Le metaverse : l’avenir de la connectivité en ligne

Si l’adoption du metaverse par tout un chacun (entreprise comme particulier) ne se fera pas avant les 10 ou 15 ans, le métavers commence petit à petit son avancée à l’échelle mondiale.

Pour rappel, le metaverse se présente comme un espace virtuel en 3D dans lequel les utilisateurs peuvent vivre une expérience professionnelle et sociale hautement immersive en 3D à travers leur avatar virtuel. Ceci, notamment grâce aux casques de réalité virtuelle, les lunettes intelligentes ou simplement leur smartphones.

Cette idée qui à ses débuts semblait pour beaucoup utopistes prend chaque jour toujours plus d’ampleur. Surtout depuis le changement du nom de la société Facebook en Meta. Et l’affirmation de son fondateur Mark Zuckerberg qui voit le metaverse comme la prochaine génération d’internet.

Une chose dont on peut être certain lorsque l’on regarde comment l’utilisation du web a évolué au fil des années. On se rappelle encore du passage de la connexion par ordinateur au mobile. Sans oublier le passage des contenus textes aux images. Puis, à la vidéo qui est devenue la solution la plus efficace et pertinente pour partager des contenus.

Dans cette progression, le metaverse ne peut donc qu’être l’évolution logique du web.

Metaverse : une possibilité quasi infini des cas d’utilisations de l’internet

Dans son étude, Nick Clegg donne des exemples des cas d’usages potentiels du metaverse.

Selon lui, ce monde numérique calqué du monde réel pourrait notamment être utilisé pour permettre aux élèves des écoles de visiter des lieux historiques. Et y vivre une expérience similaire à celle qu’ils auraient pu vivre à l’époque. En outre, le metaverse pourrait permettre aux étudiants en médecine de réaliser des opérations chirurgicales. Et cela de manière virtuelle en éliminant tous les risques de blesser des patients réels.

Il est à noter que Méta vient tout récemment de lancer son application Horizons Workroom qui donne un premier esquisse de ce que pourrait être une réunion dans le metaverse. En l’occurrence, cette application offre aux utilisateurs l’impression quasi réel d’être avec une autre personne ou dans un autre endroit. Et cela alors même qu’ils sont seuls chez eux ou dans leur bureau.

En définitive, le metaverse permet le déblocage de nouvelles opportunités. Mais aussi l’émergence d’une infinité de nouvelles idées qui auront un grand impact positif. Et cela aussi bien sur le plan social qu’économique.

Pas que des avantages

Si les caractéristiques uniques du metaverse permettent de vivre des expériences inédites et enrichissantes, Nick Clegg reconnaît également les dangers potentiels de ce nouveau monde virtuel. Surtout pour les communautés marginalisées en ligne. Il a notamment évoqué l’impact émotionnel que pourrait avoir une expérience hautement immersive en cas d’interaction offensive ou agressive.

Dans tous les cas, les entreprises qui souhaitent s’appuyer sur le metaverse devront trouver les meilleures solutions pour maximiser son potentiel positif et réduire ses inconvénients. Cela en apprenant à tirer des leçons de l’Internet actuel. Et en trouvant la meilleure façon de réglementer le metaverse avant son développement effectif.

Source : Objetconnecté

2022-05-27T14:44:27+02:0027 mai 2022|Catégories : Digital, Metaverse|Mots-clés : , |0 commentaire

Quels sont les indicateurs de performance qu’il faut retenir en marketing digital ?

Beaucoup d’entreprises se basent sur les mauvais indicateurs pour mesurer les performances de leur campagne de marketing digital. Dans cet article, je vous donne les meilleurs.

Mesurer l’impact d’une campagne de marketing digital repose sur l’analyse des métriques qui comptent vraiment.

Dans le monde du marketing digital, les agences sont très douées pour manipuler les données et convaincre les clients qu’une campagne est réussie. Les jolis graphiques et diagrammes de Google peuvent sembler intéressants, mais la campagne de marketing digital contribue-t-elle réellement à la croissance de l’entreprise ? Souvent, une entreprise se laisse séduire par l’augmentation du nombre d’impressions sur le site, de  » J’aime  » sur Facebook ou même du classement des mots clés dans les moteurs de recherche. Mais ces chiffres créent-ils des ventes ou génèrent-ils de nouveaux prospects ?

Quels sont les indicateurs de performance les plus pertinents pour une campagne de marketing digital ?

  • Nombre de prospects
  • Trafic sur le site
  • Nombre de ventes
  • Revenus de l’entreprise
  • Rétention des clients

Augmentation du nombre de prospects

Plus vous en savez sur vos clients, mieux vous pouvez créer le message et le contenu qui leur conviennent. La connaissance de votre public permet de cibler le message marketing afin que le produit ou le service soit plus pertinent pour votre client idéal. Le contenu que vous créez doit correspondre à ce qu’ils recherchent et doit être formaté en conséquence.

La création et la diffusion de messages marketing par le biais de plusieurs canaux de marketing en ligne doivent permettre de créer des leads. Lee nombre de prospect peut et doit être mesuré. La règle numéro un d’une campagne de marketing digital consiste à créer un système permettant de suivre chaque appel téléphonique, chaque envoi de formulaire et chaque interaction avec l’utilisateur. Ce n’est qu’en suivant chaque piste qu’une campagne peut être évaluée. Si vous ne pouvez pas la mesurer, vous ne pouvez pas l’améliorer.

Les prospects sont le sous-produit d’un entonnoir de vente bien conçu. Chaque piste générée peut être mesurée, ce qui signifie que le succès de chaque étape de l’entonnoir peut être mesuré.

Plus de prospects signifie plus de ventes. Plus de ventes signifie plus de revenus.

En fait, une campagne de marketing digital peut générer une tonne de trafic, mais s’il n’est pas converti et transformé en prospect, alors la campagne ne fonctionne pas.

Augmentation du trafic sur le site

Tous les trafics sur le site ne sont pas égaux et le trafic qui se convertit en nouveaux clients est le seul trafic qui compte vraiment. Le trafic est nécessaire pour augmenter le nombre de prospects et réaliser des ventes, mais le trafic seul n’est pas un chiffre dont une entreprise doit s’enticher. Le trafic peut être trompeur et des chiffres élevés de trafic sur un site peuvent donner l’impression qu’une campagne est réussie même s’il n’y a pas d’augmentation des revenus.

C’est pourquoi il est important de savoir comment mesurer et gérer correctement le trafic de votre site. 80 % du trafic des sites Web dans le monde provient des moteurs de recherche. Ce trafic provient des campagnes de référencement organique, des stratégies de marketing local et de la publicité PPC. Les taux de conversion sont 50% plus élevés avec le trafic filtrant par Google pour 90% des entreprises américaines.

Il existe trois types de trafic qu’il est important de mesurer. Le trafic organique, le trafic de référence et le trafic payant. Ces trois types de trafic sont importants à comprendre et à gérer.

Le trafic organique, selon le marché, est souvent le trafic qui convertit le plus, car le classement organique, ou naturel, dans les moteurs de recherche est un signal de confiance pour les consommateurs. Seul un petit nombre de sites obtiendront le meilleur classement et ceux-ci passent par les algorithmes de Google pour être bien classés. Les trois premiers sites classés dans la page de résultats d’un moteur de recherche génèrent 68 % du trafic de recherche. Il faut donc faire appel à une agence de référencement experte pour obtenir un meilleur classement et les meilleurs résultats.

Le trafic de référence est constitué de visiteurs qui arrivent sur une page web en cliquant sur un lien depuis un autre site web. Par exemple, un utilisateur peut être en train de lire un article et cliquer sur une ressource dans cet article pour visiter un autre site. Le trafic de référence peut également provenir de communiqués de presse, de canaux de médias sociaux et de profils d’entreprises locales.

Le trafic payant est le trafic d’un site web qui est fourni par le biais de la publicité Google Ads ou du placement d’annonces sur d’autres sites web. Le modèle implique de payer pour chaque clic et d’enchérir contre la concurrence pour obtenir un meilleur placement publicitaire. Les deux ou trois premières listes de la page de résultats de Google sont généralement des annonces payantes.

Un freelance en marketing digital peut vous aider à mettre en place une campagne optimisée avec un suivi des indicateurs de performances qui comptent vraiment.

Augmentation des ventes

Une augmentation des ventes est l’indicateur de performance le plus importante de toute campagne de marketing digital. L’objectif de toute entreprise est d’augmenter ses revenus. L’augmentation des ventes grâce au référencement organique peut être mesurée en examinant l’augmentation du nombre de produits vendus ou du nombre de nouveaux clients acquis. Il suffit de mesurer les chiffres actuels et de suivre les augmentations au fur et à mesure que la campagne de marketing progresse.

L’autre façon dont une campagne de marketing peut augmenter les ventes est d’augmenter la valeur du produit ou du service. La notoriété de la marque, les témoignages de produits, un taux de recherche élevé et une présence solide et active sur les médias sociaux peuvent créer de la valeur pour les produits. En partageant avec les clients potentiels la solution réelle qu’apporte un produit ou un service, on augmente la valeur et la pertinence du produit.

Mesurer une augmentation des ventes en valeur absolue peut être faussé par quelques valeurs aberrantes. Une meilleure façon de considérer l’augmentation des ventes est de la mesurer en pourcentage. Cela permet aux propriétaires d’entreprises de comparer et d’opposer quelques campagnes pour déterminer celles qui ont été les plus réussies.
Augmentation des revenus

Mesurer l’augmentation des revenus semble être une mesure simple à suivre. Mais c’est la façon dont cette augmentation est décomposée qui permettra à une entreprise de prendre des décisions de campagne qui poursuivront la croissance de l’entreprise. Il existe plusieurs façons pour une entreprise d’augmenter ses revenus.

  • Plus de clients pour un produit ou un service.
  • La fréquence des achats par client augmente.
  • Le panier moyen augmente.

Augmenter le nombre de clients achetant un produit est l’objectif le plus courant d’une campagne de marketing digital. Il s’agit de mettre un produit ou un service à la portée d’un plus grand nombre de personnes et de convertir ces personnes en clients.

Augmenter la fréquence d’achat d’un client est également un excellent moyen d’accroître les revenus. Cela implique souvent de connaître la durée de vie d’un produit et d’avertir les consommateurs lorsque le produit qu’ils ont acheté arrive à expiration. Il peut également s’agir d’informer les clients actuels des mises à jour de produits, des nouvelles offres commerciales ou de proposer des ventes et des remises pour les inciter à acheter davantage.

Il est possible d’augmenter le panier moyen en faisant de la vente incitative et en proposant d’autres produits complémentaires pendant le processus de paiement. Amazon le fait très bien en montrant aux utilisateurs des produits similaires que d’autres clients ont achetés ensemble et en les livrant dans un paquet. Un ensemble de produits permet non seulement d’offrir une solution plus facile au client, mais aussi d’augmenter le montant de l’achat.

Augmenter la fidélisation des clients

La meilleure façon de fidéliser les clients est de faire en sorte qu’une entreprise soit plus qu’un simple lieu d’achat. Soyez la ressource où les consommateurs peuvent trouver des informations et obtenir des réponses. Offrez une proposition de valeur qui aide les clients à comprendre comment le produit ou le service peut leur faciliter la vie, les rendre plus heureux ou plus efficaces.

Le service à la clientèle est l’un des principaux facteurs qui font que les clients deviennent des acheteurs réguliers d’une entreprise. Répondez rapidement aux courriels et aux appels téléphoniques en proposant des solutions aux clients actuels.

Nous avons tous entendu le dicton « loin des yeux, loin du cœur ». Les entreprises doivent rester en contact avec leurs clients actuels en leur proposant des mises à jour et des offres de produits et de services. Il est beaucoup plus facile de vendre un produit à un client existant que d’acquérir un nouveau client. Traitez les clients fidèles avec des offres et des ventes pour les inciter à continuer à acheter chez vous.

Conclusion

En conclusion, les 5 indicateurs de performances les plus importants pour mesurer l’impact d’une campagne de marketing digital sont :

  • Le nombre de prospect
  • Le trafic du site web
  • Le nombre de ventes
  • Les revenus de l’entreprise
  • La fidélisation des clients

Source : JDN

2022-05-18T18:45:59+02:0018 mai 2022|Catégories : Digital, Marketing|Mots-clés : , , , |0 commentaire
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